Le débat autour de la proposition de loi de la députée UMP Valérie Boyer réprimant la contestation des génocides, dont le génocide arménien, s'est ouvert mercredi matin à l'Assemblée nationale, à l'extérieur de laquelle des manifestants protestent contre le texte.
S'exprimant devant la presse dans les couloirs de l'Assemblée nationale, bouclée par les forces de l'ordre pour tenir à distance les manifestants hostiles au texte, Valérie Boyer s'est déclaré choquée, avant l'ouverture de la discussion que "nous subissions des pressions dans le symbole de la République qu'est l'Assemblée nationale".