Le président russe Vladimir Poutine, invité d'Europe 1 et TF1 mercredi, a eu la main lourde au moment d'évoquer de l'ex-secrétaire d'Etat Hillary Clinton, qui l'avait comparé à Hitler. "Vous savez, il est préférable de ne pas débattre avec les femmes", a-t-il lancé. "Quant à Mme Clinton, elle n'a jamais été trop subtile dans ses déclarations", a jouté le maître du Kremlin.
"Cela ne nous a pas empêché de la rencontrer lors de différents événements internationaux ou de discuter normalement. Je pense qu'ici également, nous pourrions trouver un langage commun", a-t-il indiqué, avant d'asséner : "pour une femme cependant, la faiblesse n'est pas tellement un défaut".
Sur son compte Twitter, l'ancienne Première dame Valérie Trierweiler se dit "heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine". Le président russe sera présent aux commémorations du D-Day, vendredi.
Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine ...— Valerie Trierweiler (@valtrier) 4 Juin 2014
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