Se déguiser en sorcière ou en squelette, sculpter une citrouille et aller frapper chez les voisins en quête de bonbons, pour la plupart Halloween s'apparente à une fête bon enfant. Mais pour d'autres, le mauvais goût et l'horreur l'emportent. Europe1.fr vous fait frissonner...
La palme du déguisement de mauvais goût
Les photos datent de l'an dernier mais elles viennent tout juste d'être révélées. On y voit deux femmes, habillées en SDF, dont l'une tient une pancarte sur laquelle on peut lire "j'ai perdu ma maison et on ne m'avait pas prévenue". Le hic, elles travaillent pour l'un des plus gros cabinets d'avocats américains spécialisé dans les procédures d'expropriation. Le patron du cabinet a reconnu que le déguisement était "de mauvais goût" et a présenté ses excuses.
La palme de la scène de crime la plus réaliste
Chris Deaton a vraiment des talents de metteur en scène. Cet Américain de Caroline du Nord a provoqué un grand émoi dans sa ville en créant une scène de crime plus vraie que nature. Il avait placé un mannequin sous les roues d'un tracteur et maculé les jambes de faux sang. Affolé, un voisin a appelé le 911, le numéro des secours, pour signaler l'accident. Les secours ne se sont toutefois pas déplacés puisqu'un autre appel leur a précisé qu'il s'agissait d'une mise en scène pour Halloween.
La palme du plus mauvais rôle
Dans les années 1980, la police de Midwest City, dans l'Oklahoma, fait une tournée pour s'assurer que la soirée d'Halloween se passe bien. Mais lorsqu'une patrouille entre dans un des bars de la ville, elle est accueillie par la patronne, déguisée en Annie Oakley - une figure de l'Ouest américain, célèbre pour sa précision au tir. Complètement ivre, elle pointe deux pistolets sur les policiers. Ces derniers la mettent en joue à leur tour avant qu'elle baisse ses armes, qui se révéleront fausses...
La palme de la plus mauvaise blague
Halloween a parfois bon dos. Amkah Sengkeo, un Américain du Montana, est accusé d'avoir menacé de tuer une femme en lui mettant un couteau sous la gorge. Une scène qui se serait répétée à trois reprises, selon la victime. Pour sa défense, Amkah Sengkeo assure qu'il s'agissait d'une blague pour Halloween.
La palme de la pire cuisinière
C'est l'histoire que l'on se raconte de génération en génération et qui a tout du mythe. Pourtant, au milieu des années 60, Helen Pfeil a bien donné des bonbons empoisonnés à l'arsenic à deux fillettes qui venaient de frapper à sa porte. Elle avait mélangé le poison mortel à des confiseries avant de les emballer. Helen Pfeil avait indiqué qu'elle avait donné ces bonbons empoisonnés à ces fillettes parce qu'elle les trouvait trop âgées pour fêter Halloween.