La décision de Jean-Louis Borloo de renoncer à la présidentielle de 2012 "laisse un vide" au sein du centre droit, mais il est trop tôt pour dire si ce courant devra présenter un autre candidat, a estimé lundi le président de la Gauche moderne, Jean-Marie Bockel.
"Tout le collectif qui s'était organisé autour de lui, évidemment aujourd'hui se sent déçu, certains peuvent même se sentir trahis, mais ils ne doivent pas oublier que la décision n'était pas finalisée et que c'est une décision personnelle", a-t-il ajouté.