Commentant le fait que Nicolas Sarkozy ait été chahuté, jeudi, lors d’un déplacement à Bayonne, Robert Rochefort, le vice-président du MoDem a estimé que ces agissements étaient "inadmissibles". Mais minimisant les proportions prises par l’incident, le député européen a comparé la situation à "du grand Guignol".
"Effectivement, il n’est pas admissible qu’un candidat se fasse maltraiter. En revanche, que Nicolas Sarkozy en rajoute, ça m’inquiète énormément (…) et si pendant 24 heures on ne parle que de ça, je dis que c’est la vraie politique qui aura perdu 24 heures", a-t-il conclu.