Les violations des droits de l'homme en Côte d'Ivoire, à la suite de l'élection de fin novembre, pourraient constituer des "crimes contre l'humanité" qui doivent être "sévèrement punis", affirment vendredi des experts de l'ONU, dans un communiqué.
Les violations des droits de l'homme en Côte d'Ivoire, à la suite de l'élection de fin novembre, pourraient constituer des "crimes contre l'humanité" qui doivent être "sévèrement punis", affirment vendredi des experts de l'ONU, dans un communiqué.