L'aventure Star Academy se poursuit pour Pierre Garnier, Julien, Candice, Axel, Héléna, Lénie et Djebril. Deux mois après la grande finale de l'émission, les élèves formés à Dammarie-les-Lys font le show partout en France et même en Belgique à l'occasion d'une tournée exceptionnelle.
"On n'a pas eu assez de temps pour le peaufiner au maximum"
Sur scène, Pierre Garnier, grand vainqueur de cette onzième saison, interprète évidemment son tube Ceux qu'on était, pour le plus grand plaisir du public. L'académicien n'est pas le seul à avoir sorti un premier single. Julien, son adversaire lors de la finale, a lui aussi enregistré un titre inédit, Comme tout le monde, dévoilé le 1er mars dernier. Hélas, le jeune homme de 24 ans n'est pas totalement satisfait du résultat final. "Moi je suis extrêmement perfectionniste et presque lourd par rapport à ça. On n'a évidemment pas eu assez de temps pour le peaufiner au maximum", a-t-il confié ce jeudi sur Pyrénées FM.
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"Je me demandais si tout n'allait pas trop vite"
Avant la sortie de son single, Julien n'était pas vraiment serein. L'académicien craignait que sa chanson ne soit pas suffisamment travaillée : "C’était vraiment une inquiétude, pour moi. On était dans la Star Ac et je me demandais si tout n’allait pas trop vite. Finalement, j’ai été vachement écouté sur plein de choses", a-t-il concédé lors de son interview. Et Julien prend un véritable plaisir à chanter son single tous les soirs sur scène. "Etre vu et sur scène tout le temps, bien sûr c’est fatiguant, mais en même temps c’est magnifique", a confié le jeune homme qui s'est vite habitué à son nouveau rythme, hors du château de Dammarie-les-Lys.
"Quand je ne suis pas en tournée, moi je suis en studio en train d’écrire ou j’ai des rendez-vous, donc on ne s’arrête jamais vraiment. Mais il y a moins de pression dans le sens où il n’y a pas d’évaluations, de primes à assurer sur TF1, la peur de partir… Il n’y a pas non plus le fait d’être isolé (…) On le vit quand même mieux, a ajouté le jeune artiste. Au début, tu es chamboulé quand tu rentres là-dedans (le château, ndlr)… Tu n’as plus de vie privée car tu es filmé tout le temps (…) ça a été mais il y avait des choses qu’on vivait moins bien que d’autres", a-t-il raconté, soulagé d'avoir retrouvé une vie (presque) normale.