"Il faut souhaiter bienvenue en enfer aux Chypriotes. Ils demandent l’aide de l’Europe et commence pour eux une histoire de souffrances sans fin", a réagi Jean-Luc Mélenchon lundi sur France 5, commentant le plan de rigueur imposé à Chypre comme condition à une aide financière européenne.
Le président chypriote, Nicos Anastasiades, a expliqué dimanche soir lors d'une brève allocution solennelle à la télévision qu'il avait été contraint d'accepter le plan de sauvetage négocié avec l'Eurogroupe pour éviter au pays une faillite financière, comprenant notamment une taxe sur les dépôts bancaires.
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