Les discussions entre plateformes VTC et chauffeurs, qui ont débuté lundi matin au secrétariat d'Etat aux Transports, ont été suspendues peu avant 13h30. Elles devraient reprendre à 19 heures.
Réunion essentielle. Cette réunion cruciale, qui faisait suite à plusieurs jours de mobilisation, rassemblait les syndicats Capa-VTC, Unsa-VTC, Actif-VTC et la Cfdt, et l'association de chauffeurs de VTC indépendants AMT (Alternative mobilité transport). En face, était présente la plateforme Uber, principalement visée par les syndicats.
Une pause pour Uber. Cette suspension, annoncée en début d'après-midi, doit permettre notamment à la société Uber France de consulter sa maison-mère aux Etats-Unis, a précisé un des participants. "Tout doit être fait pour créer les conditions d'une discussion entre l'ensemble des acteurs", avait estimé le secrétaire d'Etat aux Transports, Alain Vidalies dans un communiqué publié samedi.