De Saint-Pétersbourg à Ekaterinbourg en passant par Moscou et l'enclave de Kaliningrad, les douze enceintes qui accueilleront la Coupe du monde 2018 à partir du 14 juin en Russie couvrent une bonne partie du territoire russe.
Les Bleus à Kazan, Ekaterinbourg et Moscou. Le plus grand, le stade Loujniki de Moscou, a été rénové. Pouvant accueillir 81.000 spectateurs, il sera, entre autres, le théâtre du match d'ouverture (Russie-Arabie Saoudite), du troisième match de groupe de l'équipe de France face au Danemark, ainsi que de la finale du tournoi.
Les Bleus évolueront également dans l'une des deux plus petites enceintes de ce Mondial, l'Arena d'Ekaterinbourg (35.000 places), lors de leur match face au Pérou. Un stade qui, à la demande de la FIFA, a dû augmenter sa capacité avec deux tribunes temporaires installées en dehors de celui-ci. Pour sa première rencontre, face à l'Australie, l'équipe de France découvrira la Kazan Arena, inaugurée en 2013.
Un stade sur une île artificielle. Le stade Ficht de Sotchi, construit pour les Jeux olympiques d'hiver de 2014, sera également de la partie, au même titre que la toute nouvelle Rostov Arena, qui a la particularité d'avoir été construite sur une île artificielle, bordée par le Don, dans le sud de la Russie.