Ouija : les origines, revient sur la création de la première planche spirite mise en scène dans Ouija sorti en 2015. "Préquelle" à l'ambiance rétro, le film de Mike Flanagan évoque fortement le choc de L'exorciste de 1973. Les forces maléfiques ont en effet choisi une innocente petite-fille pour s'incarner et répandre le chaos.
L'intrigue de Roseville part du simple postulat de "l'histoire vraie" (des randonneurs disparaissent dans les Balkans), en nous présentant une série de faits étranges. La bande-annonce n'explique pas vraiment en quoi ils sont liés, bien qu'apparitions et fantômes semblent connectés à un mystérieux artefact. Le film bulgare est-il une simple bizarrerie de série Z à voir entre potes ou un petit bijou d'horreur ? Réponse le 2 octobre.
The Mirror propose au spectateur une immersion dans l'horreur en vue subjective. Le procédé rappelle le mythique film de John Carpenter, Halloween, la Nuit des masques (1978), qui nous plaçait dans la peau du tueur fou. Le procédé est ici justifié par la présence d'une caméra "GoPro", facile à transporter et souvent utilisée dans les sports de glisse pour montrer ses exploits.
Conjuring 2: le cas Enfield sortira quant à lui en DVD/Blue-Ray le 2 novembre. De quoi frissonner bien au chaud dans son salon.
Depuis le premier Saw, en passant par Insidious puis Conjuring, James Wan s'est révélé un réalisateur virtuose pour surprendre les spectateurs à l'aide de mouvements de caméras ou de contre-pied aux règles du genre horrifique. La scène tirée de Insidious est devenue mythique (attention spoiler).
Toujours pour ceux qui ont trop peur de sortir de leur salon, The Witch, prix Syfy à Gérardmer (festival du film fantastique), est désormais disponible en VOD. Basé sur de solides sources historiques à propos des procès en sorcellerie, le premier film de Robert Eggers, également primé à Sundance, impressionne par sa mise en scène.
Dans un style moins horrifique, Mademoiselle présenté à Cannes en mai, sortira également le 2 novembre. Le film de Park Chan-wook (Old Boy et Lady Vengeance entre autres) réserve plusieurs moments d'extrême tension mêlée à une intrigue alambiquée. Aucun "jump scare" à en attendre, mais plutôt un sentiment d'insécurité lié à l'imprévisibilité des personnages.