C'est le récit d'une passion destructrice. Mon Roi, de Maïwenn, récit au scalpel d'un amour passionnel, marque l'entrée de la France en compétition à Cannes. Il s'agit du premier film français à avoir été présenté, parmi les cinq longs métrages tricolores en lice pour la Palme d'Or. Bruno Cras, journaliste à Europe 1, nous livre sa critique.
Maïwenn prend une histoire simple et la rend poignante. C'est là tout le talent de la réalisatrice de Polisse selon Bruno Cras. Vincent Cassel incarne un séducteur impénitent, le "Roi" d'Emmanuelle Bercot, folle de lui à l'écran. Mais l'absence de l'homme qu'elle aime aux moments forts de sa vie finira par briser cette femme. Il faut saluer le brillant "numéro" du duo d'acteurs, souligne notre journaliste, qui a apprécié le film, également pour la sensibilité de sa réalisatrice.
#MonRoi#critweet Une femme brisée physiquement et mentalement se souvient de l'amour passionnel qui l'a détruite. 2 acteurs exceptionnels!
— Bruno Cras (@brunocras) May 17, 2015
La réalisatrice fait de cette histoire d'amour une histoire qui prend aux tripes. Bon signe, le film a été très applaudi à Cannes.
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Cannes 2015 : Mon roi, la critique de Ellepar Europe1fr