Afghanistan

Ces deux attentats, menés mercredi par des kamikazes et des hommes armés, n'ont pas encore été revendiqués. 

Une bombe a explosé dimanche dans une tente qui servait de centre d'inscription des électeurs pour les prochaines législatives d'octobre en Afghanistan.

Le ministre des Affaires étrangères a déploré lundi que la "presse paie un lourd tribut" en Afghanistan, après la mort de neuf journalistes dans un double attentat à Kaboul.

Deux explosions ont coûté la vie à au moins 25 personnes, dont un photographe de l'AFP, lundi dans la capitale afghane.

Après une première explosion déclenchée par un kamikaze à moto, une seconde attaque a visé les reporters accourus sur place. L'Etat islamique a revendiqué les attaques.

Une centaine de personnes seraient mortes dans l'attaque d'une école coranique lundi dans le nord de l'Afghanistan, soupçonnée d'abriter des talibans.

La photo d'une étudiante en cours avec son bébé est devenue un symbole. Une chaîne de solidarité s'est mise en place.

Des rencontres entre l'Union européenne, les États-Unis et les acteurs régionaux vont se dérouler en Ouzbékistan mardi pour parvenir à organiser des négociations de paix entre l'Afghanistan et les talibans.

L'attentat s'est produit devant l'université de Kaboul où des Afghans fêtaient Norouz, le Nouvel an perse. 

Le kamikaze a actionné sa charge vendredi "après avoir été identifié par la police à un check-point", a expliqué le chef de la police de Kaboul.

Washington souhaite ainsi localiser Maulana Fazlullah, un responsable des talibans pakistanais lié à la tentative d'attentat à la voiture piégée à Times Square en mai 2010. 

L'explosion d'une voiture-suicide, vendredi, est le premier incident violent depuis l'offre de paix faite mercredi aux talibans par le pouvoir.

Cessez-le-feu, légitimation politique et libération de prisonniers : le président afghan a posé les bases mercredi d'un processus de paix avec les taliban. 

Les Talibans, qui ont revendiqué l'attaque sur leur compte Twitter, multiplient les actions contre des objectifs gouvernementaux. 

Europe1.fr a interrogé cet Algérien de 43 ans, assigné à résidence depuis dix ans - un record. Il a entamé une grève de la faim, mercredi.

Lundi matin tôt, le site de l'Académie militaire d'Afghanistan à Kaboul a été attaqué par des membres revendiqués de l'EI. 

Cet attentat, l'un des pires à frapper Kaboul ces dernières années, est le troisième en une semaine dans le pays.

Le président américain a appelé "tous les pays" à mener "une action décisive contre les talibans" après l'attentat à l'ambulance piégée qui a fait 95 morts samedi.

La panique était totale sur place: les vitres ont été soufflées sur des centaines de mètres à la ronde, un immeuble voisin de l'hôpital Jamuriat.

L'ONG britannique avait fait état mercredi soir dans un communiqué de trois morts et quatre blessés. 

Une voiture-suicide a explosé devant l'entrée du complexe de Save The Children puis un groupe d'hommes armés est entré à l'intérieur. 

13 étrangers (15 selon l'AFP) font partie de ce bilan. 

Dimanche matin, les autorités afghanes ont annoncé que l'attaque contre l'hôtel Intercontinental, revendiquée par les talibans, était "terminée". 

Jeudi, un kamikaze s'était fait exploser dans la capitale afghane près d'un groupe de policiers qui tentaient d'assurer la sécurité d'une manifestation.

L'attentat, qui n'a pas été revendiqué dans l'immédiat, s'est produit en marge d'une manifestation de protestation.

Un kamikaze s'est fait explosé dimanche lors des funérailles d'un ancien gouverneur de district.

Des explosions ont fait au moins 41 morts dans un centre culturel chiite, une attaque revendiquée jeudi par le groupe État islamique.

Cette attaque, non revendiquée, est intervenue dans une région où la présence des talibans a été autrefois très forte. 

Six civils ont été tués par une explosion près d'un QG des services de renseignements afghans alors qu'ils se trouvaient dans une voiture, lundi.

L'organisation Etat islamique a revendiqué cette attaque survenue lundi matin.