Afrique

Mardi, au lendemain de l'annonce d'Abdelaziz Bouteflika de ne pas se présenter à la prochaine présidentielle, des étudiants vont se réunir à Alger et à Annaba.

La présidente du Rassemblement national redoute un "afflux migratoire" venant d'Algérie, en raison de la situation politique actuelle dans le pays.

Emmanuel Macron a salué le renoncement d'Abdelaziz Bouteflika à briguer un cinquième mandat présidentiel à la tête de l'Algérie. Il appelle toutefois à "une transition d'une durée raisonnable", alors que le scrutin présidentiel, initialement prévu le 18 avril, a été reporté.

Mardi, le président de la République Emmanuel Macron débute sa tournée en Afrique de l'est : il sera à Djibouti avant de se rendre en Ethiopie et au Kenya. 

Les autorités américains demandent à l'avionneur de modifier leur appareil d'ici "avril", après l'accident qui a fait 157 morts en Ethiopie. 

Deux soldats français de la force Barkhane au Mali ont été sérieusement blessés dimanche dans une attaque dans le centre-est du pays, et ont été évacués et hospitalisés en région parisienne. 

La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, a salué lundi la décision du président algérien de ne pas se représenter à la prochaine présidentielle. 

Le président algérien, confronté à une contestation inédite en 20 ans de pouvoir, a renoncé à briguer un cinquième mandat. L'élection présidentielle d'avril est reportée.

Le président algérien Abdelaziz Bouteflika renonce à briguer un 5ème mandat, contesté par la rue depuis plus de deux semaines, et annonce le report de l'élection présidentielle du 18 avril. 

Le crash d'un Boeing 737, dimanche, près d'Addis Abeba, a fait 157 morts de 36 nationalités différentes. Le Kenya a payé un lourd tribut, de même que l'ONU, dont l'Assemblée pour l'environnement s'est ouverte lundi à Nairobi.

"L'Algérie est un pays souverain; c'est au peuple algérien et à lui seul qu'il revient de choisir ses dirigeants et son avenir", a rappelé le porte-parole du gouvernement, lundi. 

Lundi, Ethiopian Airlines a décidé de suspendre les vols de ses appareils Boeing 737 MAX, après le crash près d'Addis Abeba dimanche d'un de ces modèles.

Lundi, au lendemain du crash d'un avion d'Ethiopan Airlines, alors que les enquêteurs poursuivent leur travail sur le terrain, l'Ethiopie a instauré un jour de deuil national. 

Le de 11 nouveau-nés entre jeudi et vendredi dans une grande maternité publique de Tunis a provoqué un véritable tollé.

Souvent revêtus de drapeaux algériens, des milliers de personnes manifestaient à Paris, Marseille ou encore Bordeaux, dimanche après-midi, contre le cinquième mandat d'Abdelaziz Bouteflika. 

Un Boeing 737 d'Ethiopian Airlines, effectuant la liaison Addis Abeba-Nairobi, s'est écrasé dimanche matin juste après le décollage, avec 157 personnes à bord, dont neuf Français.

L'appel à la grève générale contre un cinquième mandat du président Abdelaziz Bouteflika est très suivi dans plusieurs parties du pays, 

Ethiopian Airlines a confirmé dimanche la mort de 157 passagers et membres d'équipage dans l'accident d'un de ses appareils qui effectuait la liaison entre Addis Abeba et Nairobi. Selon un bilan révisé par le Quai d'Orsay, neuf Français ont péri dans le crash.

"Nos collègues soudanais sont l'objet d'une répression inouïe de la part du régime au pouvoir à Khartoum", s'indignent entre autres, Bernard Kouchner, Patrick Pelloux et la prix Nobel Françoise Barré-Sinoussi dans le "JDD".

Le requête, déposée par la présidente de la branche suisse de l'ONG Avocats sans frontières, demande la nomination d'un ou plusieurs curateurs en invoquant l'état de santé d'Abdelaziz Bouteflika.

Pour le troisième vendredi consécutif, une marée humaine a défilé dans les rues d'Alger pour protester contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika. 

Selon un rapport de l'ONG Amnesty international, des milliers de femmes victimes du groupe Boko Haram au Nigeria sont encore victimes d'abus dans les camps de déplacés où elles se trouvent.

De nouvelles manifestations d'ampleur sont attendues vendredi en Algérie, alors qu'Abdelaziz Bouteflika s'est adressé à son peuple, jeudi. "Ils veulent nous inciter à la haine", confie une étudiante de 19 ans sur Europe 1.

Dans un message diffusé par l'agence officielle APS, le président algérien a appelé à "la vigilance" contre une possible "infiltration" de l'actuel mouvement de contestation contre sa candidature à un 5ème mandat.

Pour protester contre la candidature du président Abdelaziz Bouteflika à un 5ème mandat, un millier d'étudiants se sont rassemblés mardi matin notamment dans le centre d'Alger.

Pour la chercheuse Farida Souiah, interviewée par Europe 1, la colère des Algériens ne s'explique pas par la seule candidature de Bouteflika à un nouveau mandat, mais dénonce également le "népotisme" de la classe dirigeante.

Alors que le Conseil constitutionnel a refusé son dossier de candidature, l'homme d'affaires a fait enregistrer son cousin à sa place, et promet que ce dernier démissionnera en cas d'élection pour lui laisser la présidence. 

L'absence de prise de position de la part de l'exécutif français vis-à-vis de la crise algérienne trahit la crainte d'une montée des islamismes si Abdelaziz Bouteflika devait quitter le pouvoir.

"Bouteflika dégage!", ont scandé une centaine d'étudiants, bloqués par la police à proximité de la Faculté centrale d'Alger, dimanche après-midi. La police a fait usage d'un canon à eau. 

Invité du Grand Rendez-Vous dimanche matin, le ministre de l'Agriculture a commenté la situation en Algérie, où le président Abdelaziz Bouteflika fait face à une contestation sans précédent.