Un prêtre octogénaire est mort assassiné le 26 juillet lors d'une prise d'otages dans son église à Saint-Etienne-du-Rouvray, dans l'agglomération de Rouen, un attentat revendiqué par l'organisation djihadiste Etat islamique (EI), moins de deux semaines après la tuerie de Nice.
Des milliers de personnalités et anonymes se sont rassemblées en la cathédrale de Rouen, mardi, pour célébrer les obsèques du prêtre assassiné la semaine dernière.
Lors de son échange avec le chef de l'État Hubert Wulfranc voulait également "livrer ses premières réflexions suite à la tragédie".
Dans un texte publié dimanche, le Premier ministre affirme que les musulmans ont un rôle à jouer "face à la montée du djihadisme". Des propos jugés maladroits par la communauté musulmane.
Dernier suspect en garde à vue, le cousin de l'un des tueurs a été déféré dimanche. Il avait "parfaitement connaissance" du projet d'attentat, estiment les enquêteurs.
À ce stade, une personnes reste en garde à vue : l'un des cousins du terroriste d’Aix-les-Bains.
Des dizaines de fidèles musulmans ont franchi dimanche les portes des églises pour prier avec les catholiques à la mémoire du père Jacques Hamel.
Le cousin de l'un des tueurs a été mis en examen et écroué, dimanche. Et les policiers se posent encore bien des questions sur les deux auteurs de l'assassinat.
Près de 400 personnes se sont rassemblées samedi après-midi à l'occasion d'une marche silencieuse afin de rassembler les communautés après le drame de Saint-Etienne-du-Rouvray.
Un mineur de 17 ans, qui avait tenté de partir en Syrie en 2015 avec Adel K., a été arrêté en Suisse mi-juillet, remis à la France et placé en détention provisoire.
La garde à vue d'un mineur de 16 ans a été levée, mais il pourrait être poursuivi pour "apologie du terrorisme".
Le Conseil français du culte musulman (CFCM) appelle imams et fidèles à se rendre dimanche matin à la messe dans une église proche de chez eux.
La sénatrice socialiste des Bouches-du-Rhône a appelé à plus de fermeté face à la radicalisation, samedi sur Europe 1.
Un homme chez qui on a retrouvé une vidéo de l'un des tueurs de Saint-Etienne-du-Rouvray, deux jours avant l'attaque, a été mis en examen, vendredi.
Sur Europe 1, Eric Ciotti a vivement réagi vendredi aux propos de Manuel Valls, qui reconnaît dans "Le Monde" un échec de la justice après le drame de Saint-Etienne-du-Rouvray.
Dans "La Vie", les trois religieuses prises en otage, mardi, dans leur église de Saint-Étienne-du-Rouvray, racontent les circonstances glaçantes de l'attentat qui a coûté la vie au père Hamel.
Ce terme – qui ne fait pas l’unanimité – désigne la stratégie des terroristes consistant à cacher leur radicalisation.
"Notre responsabilité, c'est de se tourner vers les semaines d'après", a confié sur Europe 1 Hubert Wulfranc, le maire de Saint-Etienne-du-Rouvray.
Ce Syrien de 22 ans a été placé en garde à vue vendredi dans l'enquête sur l'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray.
Parmi ces trois personnes placées en garde à vue figure un demandeur d'asile syrien, interpellé jeudi dans l'Allier.
Les plots en béton sur la place Stanislas à Nancy matérialisent l'impact du terrorisme dans nos vies.
Le deuxième tueur de Saint-Etienne-de-Rouvray vivait en Savoie, chez sa mère. Ses proches ne l'avaient pas vu se radicaliser.
Quelque 3.500 personnes se sont réunies à Saint-Etienne-du-Rouvray, jeudi, pour rendre un hommage solennel au prêtre assassiné deux jours plus tôt en pleine messe par deux djihadistes.
Le paroissien de 87 ans, qui a reçu plusieurs coups de couteau mardi, dans l'attentat contre l'église de Saint-Etienne-du-Rouvray, a été réopéré jeudi et se porte bien.
La correspondance d’Adel K. sur le réseau Telegram indique qu’il avait prémédité son attaque à Saint-Etienne-du-Rouvray.
Un homme, parti en Turquie avec l'un des auteurs de l'attentat de Saint-Etienne-du-Rouvray, a été placé en garde à vue, jeudi.
Le CFCM avait condamné un "acte horrifiant et terrifiant" dès les premières heures qui ont suivi l'assassinat du Père Jacques Hamel.
Abdel Malik P., identifié formellement jeudi, avait fait l'objet de deux signalements très récents. Pourtant, il n'a pas été intercepté à temps. Pourquoi ?
Les obsèques du prêtre, assassiné par deux terroristes se réclamant de l'Etat islamique, auront lieu mardi à 14h à la cathédrale de Rouen.
Pour l'ancien juge antiterroriste Marc Trévidic, il est très difficile pour un juge d'évaluer la nature profonde des terroristes, qui manient très bien l'art de la dissimulation.
Pour Vincent Neymon, porte-parole adjoint de la Conférence des évêques de France, "il faut éviter toute polémique stérile".
