Toute l'actualité sur les attentats qui ont frappé Paris le 13 novembre 2015. Ces attentats, les plus sanglants de l'histoire du pays, ont été revendiqués par l'Etat islamique. Ils ont fait 129 morts et 352 blessés près du Stade de France, dans la salle du Bataclan et dans plusieurs bars et restaurants de la capitale. Récits, analyses, réactions, décryptages, témoignages et reportages de toute la rédaction d'Europe 1 et d'Europe1.fr.
Mourad T., détenu en Pologne depuis 2016, est soupçonné d'avoir été "un collaborateur" et "un éclaireur" d'Abdelhamid Abaaoud.
Six personnes ont été interpellées mardi, dans le Nord et dans le Val-de-Marne, soupçonnées d'avoir fourni une aide logistique à Amédy Coulibaly.
La plateforme de streaming va diffuser en 2018 un documentaire en trois parties sur les attentats de 2015, centré sur le récit des témoins.
Un informateur d'Abdelhamid Abaaoud, logisticien présumé des attentats de Paris, est détenu en Pologne où il sera jugé pour appartenance au groupe État islamique.
Le comédien adapte au Théâtre du Rond-Point, à Paris, le texte "Vous n’aurez pas ma haine" d'Antoine Leiris. Un récit que ce dernier avait écrit juste après la mort de sa femme, tuée dans l'attaque du Bataclan, le 13 novembre 2015.
Le parquet va faire appel de la relaxe de Jawad Bendaoud, qui avait hébergé deux des terroristes des attentats du 13-Novembre dans un squat à Saint-Denis.
Jawad Bendaoud, jugé pour avoir logé deux djihadistes des attentats du 13-Novembre, a été relaxé par la justice des faits de "recel de malfaiteurs terroristes".
Bilal Mokono, blessé au Stade de France le 13 novembre 2015, se dit convaincu par la version de Jawad Bendaoud, qui prétend avoir ignoré l’identité des deux djihadistes qu'il a hébergés le soir du massacre.
L'usurpatrice, qui travaillait en outre pour l'association de victimes des attentats Life For Paris, avait touché 25.000 euros d'indemnisation.
Salah Abdeslam a été ramené dans sa cellule de Fleury-Mérogis jeudi après-midi, après son refus de comparaître à Bruxelles.
Face aux victimes des attentats de Paris, parfois déçus que la peine maximale n'ait pas été requise contre le "logeur", leurs avocats faisaient oeuvre de pédagogie, mardi au palais de justice.
Le parquet a requis mardi quatre ans de prison à l'encontre de Jawad Bendaoud, jugé depuis le 24 janvier à Paris pour "recel de malfaiteurs terroristes".
Salah Abdeslam a quitté dans la nuit de dimanche à lundi la prison de Fleury-Mérogis pour rejoindre Bruxelles où débute son procès pour une fusillade survenue au moment de sa traque.
Les autorités françaises et belges travaillent de concert depuis plusieurs mois pour assurer la sécurité du premier procès du seul survivant des commandos du 13-Novembre, qui doit s'ouvrir lundi.
Selon les avocats des parties civiles, Jawad Bendaoud, jugé pour "recel de malfaiteurs terroristes", savait forcément que des djihadistes du 13-Novembre étaient en fuite.
Quatre hommes, âgés de 30 à 36 ans, ont été placés en garde à vue dans l'enquête sur la fourniture des armes liées aux attentats contre "Charlie Hebdo" et l'Hyper Cacher en janvier 2015.
Les parties civiles du procès de Jawad Bendaoud, qui ont été auditionnées mardi, ont déploré le fait que le tribunal devienne un "théâtre de boulevard".
Malgré le blocage persistant de l'établissement, le djihadiste sera bien transféré à la prison de Vendin-le-Vieil avant son procès en Belgique en février.
La présidente a dû suspendre l'audience en fin d'après-midi à cause d'une vive altercation entre les prévenus dans le box, Jawad Bendaoud et Mohamed Soumah, qui avaient un différend sur un élément du dossier.
Au troisième jour de son procès, le logeur de deux des terroristes du 13-Novembre a agacé par son attitude, vendredi.
Mohamed Bakkali avait été interpellé à Bruxelles le 26 novembre 2015. Il est aussi soupçonné d'avoir eu un rôle crucial dans l'organisation de l'attentat déjoué du Thalys en août 2015.
Jugé pour "recel de malfaiteurs terroristes", le logeur de deux terroristes du 13-Novembre a menacé un avocat des parties civiles, vendredi, provoquant une suspension d'audience.
Jugé pour "recel de malfaiteurs terroristes", le logeur de deux des djihadistes du 13-Novembre s'est très maladroitement défendu, jeudi face au tribunal correctionnel de Paris.
Intarissable et très nerveux, le "logeur" de deux des terroristes du 13-Novembre a répété qu'il ne savait rien du profil de ses locataires, jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris.
Le logeur présumé de deux des terroristes du 13-Novembre, poursuivi pour "recel de malfaiteurs terroristes", a été entendu par le tribunal correctionnel de Paris, jeudi après-midi.
Maître Samia Maktouf, avocate de 35 parties civiles dans le procès de Jawad Bendaoud, est revenue sur la demande de requalification des faits faite mercredi par les parties civiles.
Le logeur présumé de deux des djihadistes du 13-Novembre est apparu agité, au premier jour de son procès pour "recel de malfaiteurs terroristes", mercredi.
Le logeur de deux des djihadistes ayant perpétré les attentats du 13-Novembre à Paris comparaît pour "recel de malfaiteurs terroristes" à partir de mercredi.
Soupçonné d'avoir hébergé deux djihadistes, dont l'un des cerveaux présumés des attentats, le trentenaire comparaît devant le tribunal correctionnel de Paris à partir de mercredi.
L'humoriste controversé dit vouloir "comprendre l’état d’esprit" d'un des responsables présumés des attentats du 13 novembre 2015.
