boko haram

Les trois attentats ont été perpétré dans une région au carrefour des activités du groupe djihadiste nigérian Boko Haram.

Bien que le groupe djihadiste ait perdu du terrain face à l'armée et à la coalition régionale, la région du lac Tchad reste encore volatile et de grandes parts du territoire toujours inaccessibles.

La plupart des victimes se trouvaient dans un camp de déplacés ayant fui les violences de Boko Haram. 

Une centaine de lycéennes qui avaient été enlevées par Boko Haram au Nigeria sont rétablies, prêtes à rentrer chez elles et à reprendre les cours à l'université.

Une femme s'est fait sauter sur un marché pendant deux autres kamikazes ont actionné leur charge explosive à l'entrée d'un camp de réfugiés.

Des attaques de Boko Haram contre deux îles situées non loin des rives du lac Tchad ont fait au moins 31 morts parmi les pêcheurs qui s'y trouvaient.

Dans la vidéo, trois employés de l'Université de Maiduguri demandent au gouvernement d'accéder aux revendications des djihadistes pour qu'ils soient libérés.

Le groupe djihadiste Boko Haram a mené mardi une attaque contre un convoi d'une mission pétrolière au Nigeria, tuant au moins 69 personnes.

Le groupe djihadiste a frappé dans un village du Sud-Est du Niger, près de la frontière avec le Nigéria.

Les militaires réclamaient leur "relève immédiate" et le paiement de leurs primes de "soldats internationaux" comme celles dont bénéficient les autres soldats des opérations onusiennes.

Les 82 lycéennes, ex-otages de Boko Haram et libérées début mai, ont retrouvé leurs parents samedi au Nigeria, après avoir été "retenues" par le gouvernement.

Une lycéenne captive de Boko Haram et enlevée à Chibok en 2014 a été retrouvée mercredi par l'armée du Nigeria alors qu'elle fuyait le groupe djihadiste.

Les combattants de Boko Haram mènent des raids réguliers pour piller les récoltes dans une région en proie à une grave crise alimentaire.

La jeune fille refuse de retourner dans sa famille, car elle affirme qu'ils "vivent dans la ville de l'impiété."

Six autres personnes ont été blessées.

Selon un avocat qui a participé aux négociations de libération des 82 lycéennes de Chibok, d'autres captives ont refusé d'être libérées des mains de Boko Haram.

Le président du Nigéria s'est engagé dimanche à superviser la réintégration et l'éducation des 82 jeunes filles ex-captives de Boko Haram.

Ces adolescentes font partie du groupe de 276 jeunes filles enlevées dans leur lycée par le groupe djihadiste en 2014. Elles ont passé plus de trois ans en captivité. 

Les autorités nigérianes ont annoncé la libération samedi de 82 lycéennes parmi les quelque 270 qui avaient été enlevées en avril 2014 à Chibok.

Le correspondant de RFI au Cameroun a été condamné à dix ans de prison ferme lundi pour "non-dénonciation d'actes de terrorisme". Ses avocats comptent faire appel.

En trois mois, 27 enfants ont été transformés en kamikazes par les djihadistes au Nigeria, au Niger, au Cameroun et au Tchad.

Le deuxième incident a eu lieu après le refus d'un berger de payer les djihadistes pour bénéficier de leur protection.

Le Cameroun a annoncé mercredi que près de 5.000 civils, retenus par Boko Haram dans des villages, ont été libérés lors d'une opération militaire inédite.

Deux femmes qui voulaient se faire exploser à Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, ont été abattues samedi.

L'attaque, confirmée par un membre d'une milice d'autodéfense, a eu lieu dans le nord-est du pays.

Selon un dernier bilan communiqué par l'armée nigériane, 112 civils ont trouvé la mort dans un bombardement accidentel qui devait viser Boko Haram mi-janvier.

Trois hommes ont été tués et sept femmes ont été enlevées par des combattants du groupe islamiste Boko Haram dans un village du nord-est du Nigeria.

Le kamikaze, qui circulait à vélo, a actionné sa charge explosive alors qu'il venait d'être repéré par les membres d'un comité de vigilance, tuant deux civils dimanche.

Selon le président du Nigeria, les djihadistes ont été mis en fuite de la forêt de Sambisa, un de leurs derniers bastions situés dans l'État du Borno. 

L'armée mène des opérations dans une forêt, située dans l'Etat de Borno, au Nigéria, où des combattants du groupe ont trouvé refuge.