brexit

Tim Martin assure qu'un accord commercial n'est pas absolument nécessaire entre le Royaume-Uni et l'UE, contrairement à l'idée véhiculée par les journalistes, économistes et hommes politiques selon lui. 

Lors de sa visite d'État de trois jours au Royaume-Uni, le roi Felipe VI va probablement évoquer la rétrocession de Gibraltar à l'Espagne qu'il avait déjà évoquée devant les Nations unies.

Le groupe bancaire va relocaliser entre 300 et 400 postes de sa division londonienne.

La Première ministre britannique a appelé l'opposition à "venir avec ses idées sur la façon de relever les défis" qui se présentent au pays depuis le vote du Brexit et son échec personnel aux législatives.

La place financière de Paris espère tirer profit de l'impact du Brexit sur la capitale boursière européenne, Londres. 

Le négociateur de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne espère que le divorce ne prendra pas plus de deux ans. Sur Europe 1, il est revenu sur les points les plus délicats de cette sortie.

Nicola Sturgeon a annoncé mardi que la décision sur l'organisation d'un nouveau référendum d'indépendance était repoussée à l'automne 2018.

Pour Jean Beunardeau le patron de HSBC France, "il y a beaucoup d’arguments pour aller en France".

Le président du Conseil européen a estimé que la proposition de Theresa May sur les droits des expatriés "risque d'aggraver la situation" des Européens.

La chancelière a de nouveau témoigné son enthousiasme de travailler avec Emmanuel Macron et compte se consacrer prioritairement à l'avenir des 27 de l'UE.

Hasard ou réel sens caché ? Le chapeau de la reine Elisabeth II, bleu et jaune, aura au moins eu le mérite de faire piailler la twittosphère.

Ce programme législatif est destiné à abolir le Code de la loi de 1972 qui avait incorporé la législation européenne au droit britannique.

Au coup d'envoi des négociations sur le Brexit lundi, les deux parties se sont accordées sur les dossiers à traiter en priorité ainsi que sur le calendrier des discussions.

Le négociateur en chef de l'UE a déclaré qu'il attendait des discussions "constructives" avec le Royaume-Uni tandis que le britannique David Davis milite pour un "partenariat fort et spécial" avec l'UE après le Brexit.

Michel Barnier et David Davis se rencontrent aujourd'hui à Bruxelles pour lancer officiellement les négociations devant aboutir au Brexit.

Elles seront lancées par le ministre britannique chargé de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, David Davis, et par le négociateur en chef de l'UE, Michel Barnier.

Cet engagement à maintenir le calendrier du Brexit pousse May à faire aboutir au plus vite les discussions avec le parti unioniste protestant d'Irlande du Nord. 

Le président a donné mardi soir une conférence de presse avec la Première ministre britannique, Theresa May. Celle-ci a cependant assuré que le Brexit était "maintenu".

Le référent du Parlement européen demande au gouvernement britannique de rapidement se positionner pour entamer les négociations sur le Brexit.

La Commission européenne souhaite obliger Londres à déménager une grande partie de ses activités financières vers l'UE après le Brexit.

La Première ministre britannique prévoit d'entamer comme prévu les négociations sur le Brexit dans les deux semaines. 

Au lendemain des élections législatives en Grande-Bretagne, qui ont vu le parti de Theresa May perdre la majorité absolue, les deux chefs de cabinet de la Premier ministre britannique ont annoncé leur démission, samedi.

Les élections anticipées du 8 juin, qui étaient centrés sur le Brexit pour le parti conservateur, ont raté leur cible, éloignant l'option d'un Brexit dur, analyse Gérard Errera.

Angela Merkel a demandé vendredi que les négociations sur le Brexit démarrent rapidement, au lendemain des élections législatives en Grande-Bretagne qui ont vu les conservateurs perdre la majorité absolue.

La Première ministre britannique a également assuré que son gouvernement "mènera à bien le Brexit".

Étant donné le résultat des élections législatives britanniques, le négociateur en chef de l'UE sur le Brexit est prêt à laisser plus de temps au Royaume-Uni.

L'impact de ces résultats reste néanmoins limité sur les autres devises et les places boursières. 

Theresa May a perdu les élections législatives anticipées au Royaume-Uni. Pour Pierre Moscovici, commissaire européen aux affaires économiques et financières, cette élection ne s'est pas passée comme prévue.

La Première ministre britannique, qui souhaitait voir sa majorité renforcée au Parlement, avait pris un pari très risqué. Mais au lendemain du scrutin, le pays est en proie à l'instabilité.

Plus de 47 millions de Britanniques sont appelés à voter jusqu'à 22 heures (23h en France).