brexit

A l’occasion de la journée européenne des langues ce jeudi, Europe 1 s’est demandé si la langue anglaise allait disparaître des institutions européennes une fois les Britanniques partis. 

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu de ce mercredi 25 septembre à 17h : Sandra Muller, à l'origine du hashtag #BalanceTonPorc, a été condamnée à 15.000 euros de dommages et intérêts pour diffamation, les parlementaires britanniques ont siégé de nouveau après la levée...

Mardi, la Cour Suprême britannique a jugé illégale la décision de Boris Johnson de suspendre le parlement. Au micro de Matthieu Belliard, Dominic Grieve, député conservateur britannique, appelle à la tenue d’un second référendum.

L'Association européenne des constructeurs automobiles a mis en garde dimanche soir contre les conséquences d’un no deal, évaluant à 5,7 milliards le surcoût lié aux droits de douanes.

A l'issue d'une rencontre à Bruxelles avec Michel Barnier, le négociateur de l'Union Européenne, Stephen Barclay, ministre britannique du Brexit, estime qu'il y avait un "élan" dans les discussions pour parvenir à un accord sur le départ du Royaume-Uni.

Interrogé par la chaîne de télévision Sky, Boris Johnson a averti que tout accord sur la sortie du Royaume-Uni "demandera du mouvement" de la part de l'UE. 

D'après la commission européenne, Boris Johnson n'a pas proposé de solution satisfaisante pour un nouvel accord avec l'Union sur le Brexit.

la Cour d'appel d'Edimbourg a déclaré "illégale" la suspension controversée du Parlement britannique jusqu'au 14 octobre, estimant que la décision du Premeir ministre Boris Johnson avait "pour but d'entraver le Parlement".

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu le mercredi 11 septembre à 12h : la justice écossaise juge "illégale" la suspension du Parlement par Boris Johnson. Sur Europe 1 David Pujadas se souvient de son direct lors du 11-septembre. Dans le nouveau Monopoly, les femmes gagnent...

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a subi un nouveau revers ce lundi soir en vue du Brexit avant que le Parlement soit suspendu pour cinq semaines ce qui a provoqué l'indignation.

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu à 7h ce mardi 10 septembre :  le Parlement britannique refuse à nouveau des élections avant sa suspension, les start-up des femmes sous-financées, la Cour suprême interdit au maire de Rio de censurer une BD LGBT. 

Pour le ministre des Affaires étrangères, invité du Grand Rendez-vous Europe 1/CNews/Les Echos, le chaos politique en Grande-Bretagne autour de la mise en place du Brexit ne justifie pas un nouveau report de la date de sortie de l'UE, fixée le 31 octobre.

C'est un coup dur pour les partisans d'un Brexit sans accord. La loi obligeant Boris Johnson à demander à Bruxelles de reporter le Brexit à janvier 2020 a été votée vendredi par la Chambre des Lords, la chambre haute du Parlement britannique. 

Une femme d'affaires avait réclamé l'annulation de la suspension du Parlement décidée par le Premier ministre Boris Johnson. La Haute Cour de Londres a rejeté cette demande vendredi.

Cette annonce intervient au lendemain du rejet d'une motion du gouvernement du Premier ministre Boris Johnson appelant à des élections anticipées le 15 octobre.

Secrétaire d'État chargé des Universités, de la Science, de la Recherche, Jo Johnson, à l'inverse de son frère, est favorable à la tenue d'un second référendum sur le Brexit.

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu ce jeudi 5 septembre à 7h : les députés britanniques rejettent la demande d'élections anticipées de Boris Johnson, l'ouragan Dorian remonté en catégorie 3, Scarlett Johansson croit en l'innocence de Woody Allen. 

Ce vote constitue un nouveau camouflet pour le chef du gouvernement, déterminé à faire sortir son pays de l'UE le 31 octobre. 

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu ce mercredi 4 septembre à 7h : Boris Johnson perd un vote crucial au Parlement, des architectes dénoncent un projet de centre commercial à la Gare du Nord, Vienne de nouveau classée ville la plus agréable du monde. 

Les parlementaires britanniques ont adopté mardi une motion visant à obtenir un report du Brexit, prévu pour l'heure le 31 octobre. Le Premier ministre Boris Johnson cherche la parade.

Après son arrivée au pouvoir fin juillet, Boris Johnson a ouvert des discussions avec Bruxelles, sans toutefois présenter jusqu'ici de nouvelles propositions pour sortir de l'impasse.

Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu à 20h ce lundi 2 septembre : les rumeurs autour d'élections législatives anticipées au Royaume-Uni prennent du poids, un bateau de tourisme prend feu au large de la Californie et 34 passagers sont portés disparus, le claviériste du...

Le négociateur en chef de l'Union européenne pour le Brexit, Michel Barnier, a dit craindre qu'un divorce sans accord avec le Royaume-Uni ne puisse être évité

L'obsession des douanes est d'éviter que la remise en place des contrôles de marchandises ne provoque des embouteillages au port de Calais. Une procédure préalable de déclaration en ligne devrait permettre de fluidifier le trafic.

Bloquer le Brexit "compromettra gravement la confiance du peuple dans la politique", a adressé Boris Johnson aux députés britanniques. Le même jour, le Premier ministre remportait la première manche de la bataille judiciaire déclenchée depuis la suspension du Parlement.

Denis MacShane, ancien ministre britannique des Affaires européennes, critique la décision du Premier ministre de suspendre les travaux du Parlement jusqu’au 14 octobre, rappelant la tradition parlementaire du Royaume-Uni.

La décision de Boris Johnson de suspendre le Parlement pendant cinq semaines a surpris la scène internationale, Vincent Hervouet revient sur la situation politique de la Grande Bretagne.

Alors que Boris Johnson a décidé de suspendre le Parlement pendant cinq semaines, Denis MacShane, ancien ministre britannique des Affaires européennes sous Tony Blair, est l'invité de Matthieu Belliard pour faire le point sur la situation.

La décision de Boris Johnson de suspendre le Parlement pendant cinq semaines inquiètent les économistes qui craignent les conséquences d'un Brexit sans accord.

Cette annonce, qui rend difficile pour les députés de s'opposer à une sortie sans accord de l'UE, a provoqué la colère de l'opposition.