Corée du Nord

Les délégations sud et nord-coréennes vont se rencontrer jeudi afin de fixer la date du prochain sommet intercoréen prévu en avril. 

Le 45ème président des Etats-Unis a montré son enthousiasme quant à la dénucléarisation de la Corée du Nord, quelques semaines avant sa rencontre avec Kim Jong Un.

Chaque jour, Vincent Hervouet traite d’un sujet international.

VIDÉO - Kim Jong Un s'est rendu à Pékin pour une visite non officielle de dimanche à mercredi, signe d'une volonté de rapprochement entre les deux pays avant un sommet entre Donald Trump et le dirigeant nord-coréen.

Des médias japonais ont fait état lundi d'une visite du dirigeant nord-coréen dans la capitale chinoise. "Nous n'avons pas d'informations pour le moment", a répondu Pékin.

Malgré la volonté du Sud, le régime de Kim Jong-un ne serait pas enclin à recevoir pour un concert ce chanteur connu pour son comportement outrancier.

"La Corée du Nord est une vraie menace", a martelé l'ancien chef d'Etat dans un discours à Tokyo. 

La Corée du Nord a accepté une rencontre avec une délégation de Séoul afin d'évoquer les préparatifs logistiques d'un prochain sommet entre les deux Corées, qui doit avoir lieu fin avril. 

"L'offensive pour un dialogue de paix menée par la Corée du Nord témoigne de sa confiance en soi car elle a obtenu tout ce qu'elle désire", assure le régime.

Elle affirme avoir été recrutée pour faire une plaisanterie. Le demi-frère du dirigeant nord-coréen avait en fait été assassiné avec un agent neurotoxique. 

L'affaire Skripal, du nom d'un ex-agent double russe victime d'une tentative d'empoisonnement à Londres, pourrait allonger une longue liste de victimes de substances toxiques.  

Depuis trois ans, des négociations secrètes étaient menées entre une délégation du Parlement européen et la Corée du Nord pour trouver une issue au programme nucléaire.

Le Premier ministre japonais Shinzo Abe pourrait rencontrer le dirigeant nord-coréen Kim Jong-Un pour "faire avancer la question des enlèvements de Japonais par Pyongyang dans les années 1970 et 1980".

Malgré la perspective d'un sommet commun entre Donald Trump et Kim Jong-Un, les États-Unis continuent de plaider pour le maintien des sanctions strictes envers Pyongyang. 

Pour le président américain, la Corée du Nord "veut faire la paix". Les Etats-Unis avaient annoncé jeudi l’organisation d'un sommet commun. 

En voyage en Inde, le président français s'est félicité de la rencontre prévue entre Donald Trump et Kim Jong-un, tout en se montrant "prudent".

L'ancienne candidate à la présidentielle américaine s'est déclarée hostile aux discussions menées entre les Américains et le régime nord-coréen.

La future rencontre entre Donald Trump et Kim Jong-Un rassure les éditorialistes français samedi matin après des mois d'escalade verbale mais ils restent prudents quant aux conséquences réelles de cette entrevue.

L'ancienne star du basket américain Dennis Rodman a salué la rencontre prévue entre Donald Trump et Kim Jong un, rappelant qu'il avait prédit cette ouverture. 

Emmanuel Macron a salué vendredi la future rencontre entre Donald Trump et Kim Jong un, appelant à un "dialogue exigeant". 

La décision de Donald Trump de rencontrer Kim Jong un a surpris tout le monde, y compris son équipe rapprochée qu'il n'a pas consultée. 

Dans un communiqué, le vice-président Mike Pence a réaffirmé que les sanctions économiques contre la Corée du Nord allaient se poursuivre.

L'Union européenne, par la voix de sa porte-parole à la diplomatie, s'est réjouie de la future rencontre historique entre le président américain et le leader nord-coréen.

"Très honnêtement, ça a été un peu une surprise pour nous", a reconnu jeudi le secrétaire d'Etat américain, Rex Tillerson.

Le président américain Donald Trump a accepté de participer à un sommet historique avec le leader nord-coréen Kim Jong Un. En janvier pourtant, le président américain qualifiait encore Kim Jong-Un de "petit gros".

L'annonce d'une rencontre entre le président américain et le leader nord-coréen a surpris tout le monde car, en coulisses, les négociations ont été rocambolesques. 

Ce rebondissement, impensable il y a encore quelques semaines, intervient après deux années de très vives tensions entre Washington et Pyongyang. 

Malgré une détente observée pendant les JO, les deux Corées ne défileront pas ensemble lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux paralympiques vendredi. 

"Nous sommes encore loin de négociations, nous devons être très lucides et réalistes sur ce point", a déclaré Rex Tillerson à la presse jeudi.

Après dans le Nord, deux émissaires sud-coréens vont se rendre aux États-Unis, puis en Chine, en Russie et au Japon, pour présenter la proposition de dialogue de Pyongyang sur son programme nucléaire.