Corée du Nord

Décédé en juin 2017, Otto Warmbier avait été rapatrié dans le coma aux États-Unis, après 18 mois de détention en Corée du Nord. 

John Mattis, le secrétaire américain à la Défense, a aussi déclaré que les États-Unis gardaient leurs "capacités de contrer les menaces les plus dangereuses".

La Maison-Blanche a réagi quelques heures plus tard, jugeant "absurde" de suggérer que Trump a déclaré la guerre.

Trois nouveaux pays, parmi lesquels la Corée du Nord, le Venezuela et le Tchad, verront l'accès de leurs ressortissants au territoire américain restreint à partir du 18 octobre prochain, a annoncé la Maison-Blanche. 

Le ministre russe des Affaires étrangères a averti sur le risque de catastrophe majeur si les Etats-Unis et la Corée du Nord persiste dans l'escalade.

Des scientifiques chinois ont déterminé que l'événement présente les caractéristiques d'un séisme naturel.

L'objectif de cette mission était d'envoyer "un message clair" à Pyongyang, dont les provocations et les ambitions nucléaires ont déclenché la colère de Donald Trump.

Pour le chef de l'Organisation du Traité d'interdiction complète des essais nucléaires, il s'agirait d'une réplique de l'essai nucléaire du 3 septembre dernier. 

Depuis le discours de Donald Trump à l'ONU, la tension entre les États-Unis et la Corée du Nord connaît un regain d'intensité.

"Moscou reste persuadé qu'il n'y a pas d'autre solution qu'une résolution politique et diplomatique du problème nord-coréen", a indiqué le Kremlin dans un communiqué. 

Le président américain a donné son feu vert à d'éventuelles sanctions qui pourraient viser les banques qui collaborent avec la Corée du Nord. 

Alors que Donald Trump a annoncé jeudi de nouvelles sanctions à venir contre Pyongyang, la Corée du Sud a appelé à l'apaisement des tensions à la tribune de l'ONU.

"Les propos tenus par le président des États-Unis ne sont pas glorieux pour la nation américaine", a indiqué l'ayatollah Khamenei, lors d'un discours devant l'Assemblée des experts jeudi.

"S'ils croient nous choquer avec le son de l'aboiement d'un chien, c'est clairement qu'ils rêvent comme un chien", a déclaré le ministre nord-coréen des Affaires étrangères.

En prônant le "soft power" et le multilatéralisme lors de son discours mardi, Emmanuel Macron s'est opposé sur bien des sujets à son homologue américain.

Juliette Morillot, spécialiste de la Corée du Nord, assure que les Kim, qui dirigent le pays depuis trois générations, "sont parfaitement rationnels".

Donald Trump, qui s’exprimait mardi à la tribune de l’Assemblée générale de l’ONU, a tenu un discours des plus virulents à l’égard des "États voyous".

À l'ONU, le président américain a menacé de "détruire totalement" la Corée du Nord si les États-Unis "étaient menacés".

Antonio Guterres a réclamé mardi à la tribune des Nations unies l'arrêt des opérations militaires birmanes contre la minorité Rohingya en Birmanie.

La communauté internationale a sanctionné Pyongyang pour avoir mené un nouvel essai nucléaire. 

L'Espagne a déclaré lundi "persona non grata" l'ambassadeur de la Corée du Nord à Madrid et l'a sommé de quitter le pays avant le 30 septembre.

Les présidents américain et chinois ont convenu lundi de "maximiser la pression sur la Corée du Nord" en appliquant les résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU, qui doit se réunir jeudi.

Le chef de la diplomatie française a appelé lundi à des pourparlers entre Bagdad et Erbil quant au futur référendum kurde, source de tensions.

Il s'agit des premiers vols américains dans cette zone depuis que la Corée du Nord a réalisé le 3 septembre son sixième essai nucléaire et envoyé un missile balistique au-dessus du Japon vendredi.

Les pays membres du Conseil de sécurité, sous l'impulsion des Etats-Unis, s'entretiendront de la prolifération des armes de destruction massive et la menace que représente la Corée du Nord.

Le dirigeant nord-coréen a salué le tir d'un missile à portée intermédiaire Hwasong-12, estimant qu'il s'agissait d'un pas supplémentaire vers l'arme nucléaire.

Le Conseil de sécurité de l'ONU estime que le nouveau tir de missile nord-coréen est une menace pour la région mais aussi pour tous les États membres des Nations Unies. 

Les présidents russe et français se sont accordés sur la nécessité de résoudre une situation "extrêmement compliquée" par des moyens politiques "exclusivement". 

Dans la nuit de jeudi à vendredi, la Corée du Nord a de nouveau effectué un tir de missile. 

John Hyten, le responsable du Commandement stratégique de l'armée américaine, est formel : la Corée du Nord a bien tiré une bombe H le 3 septembre.