Corée du Nord

Dans un entretien téléphonique avec Emmanuel Macron, le président américain a réaffirmé être prêt à prendre des mesures militaires et diplomatiques contre la Corée du Nord.

Selon Olivier Piton, spécialiste des États-Unis, Donald Trump se montre menaçant à l'égard de Pyongyang pour "surprendre son adversaire", mais ne saurait pas gérer son stress.

Le chef de l'Etat a fait part samedi de sa "préoccupation" devant la brusque montée des tensions entre Washington et Pyongyang.

Lors d'un entretien téléphonique avec son homologue américain, le président chinois Xi Jinping a pressé Donald Trump d'éviter les mots qui pourraient "exacerber" les tensions. 

L'affrontement verbal entre Washington et Pyongyang se poursuit. Donald Trump maintient la pression sur la Corée du Nord. L'option militaire est "prête à l'emploi", a-t-il dit.

Néanmoins, le président Trump a assuré au gouverneur de l'île de Guam, menacée par un projet de tir de missiles nord-coréens, que l'armée américaine était prête à défendre son territoire.

Suite à l'annonce nord-coréenne de lancer des missiles au-dessus de l'archipel, vers l'île de Guam, le Japon a déployé Patriot, son système antimissile. 

D'après des photos prises par un satellite, la Corée du Nord serait en train de se préparer à de nouveaux essais de missile mer-sol balistique.

Donald Trump a mis en garde le dirigeant nord-coréen qui menace de frapper l'île américaine de Guam. L'escalade verbale continue entre les deux hommes.

L'escalade verbale entre les États-Unis et la Corée du Nord inquiète au plus haut point la Russie, qui travaille avec la Chine sur un projet de règlement de la crise.

Contrairement à l'apaisement demandé par la Chine, Donald Trump a renchérit face à la Corée du Nord en assurant que les options militaires était "en place", sur Twitter.

Situé à équidistance entre Washington et Pyongyang, le 50ème État américain observe l'escalade des menaces entre Donald Trump et Kim Jong-Un avec inquiétude.

"Nous appelons tous les parties à faire preuve de prudence dans leurs mots et leurs actions, et à en faire davantage pour apaiser les tensions", a plaidé le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.

La joute verbale entre Washington et Pyongyang fait plus que jamais resurgir la crainte d'un conflit nucléaire.

Le chef du Pentagone s'est exprimé peu de temps après que Donald Trump a défendu sa formule controversée de mise en garde à la Corée du Nord.

Après avoir promis "le feu et la colère" à la Corée du Nord, Donald Trump estime qu'il n'a pas été assez dur et réitère ses propos.

L'escalade verbale se poursuit entre Pyongyang et Washington. Au coeur des tensions, une île perdue dans le Pacifique, mais abritant une base militaire américaine.

"Les actions de la Corée du Nord sont une provocation manifeste", a déclaré le porte-parole du gouvernement, tout en apportant son soutien au ton belliqueux de Donald Trump.

La montée de tension se poursuit entre les États-Unis et la Corée du Nord, qui juge que Donald Trump est "dépourvu de raison". Pyongyang a de nouveau menacé l'île de Guam qui héberge une importante base militaire américaine. 

Hyeon Soo Lim, considéré comme un des plus influents missionnaires chrétiens en Corée du Nord, avait été arrêté en 2015, accusés d'actes subversifs envers le régime.

Le président américain promet "le feu et la colère" si Pyongyang continue ses menaces.  

Donald Trump a lancé mercredi une mise en garde implicite à la Corée du Nord en vantant la puissance de l'arsenal nucléaire des États-Unis.

Pyongyang assure que son plan pour "faire feu sur les zones situées autour de Guam avec une fusée balistique" est prêt à être déclenché "à tout moment". 

Le président américain a déclaré mardi que les menaces de la Corée du Nord envers les États-Unis se "heurteront au feu et à la colère" si elles se poursuivent.

Avec cette avancée, la Corée du Nord deviendrait une puissance nucléaire à part entière.

À la suite des tirs expérimentaux de deux missiles de longue portée le mois dernier, le Conseil de sécurité de l'ONU a adopté à l'unanimité samedi de nouvelles sanctions contre la Corée du Nord.

Le sommet de l'Asean à Manille a permis une rencontre entre les ministres des Affaires étrangères des deux Corées, tandis que Donald Trump et Moon Jae-In ont évoqué le cas de Pyongyang lors d'une conversation téléphonique.

En marge d'une rencontre entre Américains, Chinois et Russes à Manille, Rex Tillerson, le secrétaire d'État américain, a indiqué que la Corée du Nord devait cesser ses essais balistiques si elle voulait permettre l'établissement d'un dialogue.

Le ministre chinois des Affaires étrangères s'est entretenu avec son homologue nord-coréen, dimanche. 

Les Chinois et les Russes ont approuvé une nouvelle salve de sanctions économiques contre la Corée du Nord, en réponse à ses essais de missiles balistiques.