extreme droite

Marine Le Pen a fait un selfie controversé avec un militant radical estonien "suprémaciste", et a par la suite demandé à ce que le cliché soit retiré de Facebook. 

La majorité relative décrochée par le socialiste Pedro Sanchez, lors des législatives espagnoles dimanche, pourrait le contraindre à s'allier avec des nationalistes, comme le souligne sur Europe 1 Barbara Loyer, professeure à l'institut Français de géopolitique.

L'essayiste d'extrême droite Alain Soral a été condamné mi-avril à un an de prison ferme assorti d'un mandat d'arrêt pour contestation de l'existence de la Shoah.

Le mouvement d'ultradroite Bastion social a été dissout mercredi, le gouvernement espérant ainsi "mettre fin aux exactions répétées" commises lors de manifestations. 

Selon Nathalie Loiseau, tête de liste LREM pour les européennes, la polémique sur sa présence passée sur une liste étudiante d'extrême droite a été lancé par l'hebdomadaire "Minute".

Lorsqu'elle était étudiante à Sciences Po, l'actuelle tête de liste LREM pour les élections européennes s'était présentée en 1984 aux élections syndicales sous les couleurs de l'Union des étudiants de droite, aux côtés d'anciens membres du GUD, a révélé Mediapart.

Le blogueur ultranationaliste breton Boris Le Lay, plusieurs fois condamné pour racisme, a été supprimé, a indiqué samedi le géant américain. 

Plusieurs affrontements ont eu lieu ces derniers jours à Paris entre ultra-gauche et ultra-droite, qui se disputent la tête des cortèges des "gilets jaunes", selon des informations d'Europe 1. Un meneur d'ultra-gauche a été interpellé. 

Le souverainiste Paul-Marie Coûteaux "ne m'a pas fait de proposition en tant que telle, il m'a appelée pour me vendre l'idée", a assuré Marion Maréchal.

Selon un quotidien autrichien, le groupuscule français Génération identitaire a reçu quatre donations, pour un montant total de 2.200 euros, de Brenton Tarrant.

Le groupe identitaire Les Brigandes publiait des clips vidéo aux paroles xénophobes et avait plusieurs fois l'objet de signalements pour incitation à la haine. 

Dans la série "Au cœur de l’histoire", Fabrice d'Almeida éclaire un fait d'actualité à la lumière d’un événement historique. Le 13 janvier 2019, après 37 ans de cavale, Cesare Battisti était arrêté en Bolivie, rappelant aux Italiens leur histoire politique récente et sanglante,...

Quatre personnes ont été placées en garde à vue mardi après la diffusion d'un reportage sur un bar privé d'extrême droite à Lille, qui filmait notamment l'agression d'une jeune femme d'origine maghrébine. 

L'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin appelle à profiter du "grand débat national", lancé face au mouvement des "gilets jaunes", pour fonder "un nouveau pacte social".

Les manifestants ont réclamé dimanche la fermeture du bar privé La Citadelle, récemment mis en lumière dans un reportage filmé en caméra caché et diffusé sur Al-Jazeera. 

Adam Thomas et Claudia Patatas ont été respectivement condamnés à 6 ans et demi et cinq ans de prison. 

Alors qu'il participait vendredi à un moment de recueillement sur le lieu de la profanation, le ministre a précisé que ce groupuscule n'avait pas encore été identifié. 

Le premier volet d'un documentaire d'Al Jazeera montre plusieurs personnes habituées d'un bar ouvert en septembre 2016 se vantant de violences à l'encontre de minorités. 

Les étudiants de l'Issep, fondé par la nièce de Marine Le Pen, défendent dans "Valeurs actuelles" le choix Georges Loustaunau-Lacau, résistant notoirement antisémite.  

En Espagne, c'est la première fois qu'un parti d'extrême-droite entre dans un parlement régional depuis la fin de la dictature de Franco en 1975. 

Le porte-parole du gouvernement a dénoncé lundi quelques manifestants "minoritaires, qui sont des factieux et des séditieux", et qui "n'ont pas leur place dans la République". 

Selon les informations d'Europe 1, 200 militants de groupuscules d’extrême droite, ont pris part aux débordements qui ont lieu lors de la mobilisation des "gilets jaunes" samedi, à Paris.

Ces quatre sympathisants, âgés de 22 à 62 ans, proches d'un groupe de l'ultradroite, avaient évoqué un projet d'attaque contre le chef de l'État lors des commémorations du 11-Novembre. 

Les gardes à vue de cinq personnes interpellées mardi pour des soupçons de projet d'attaque contre Emmanuel Macron ont été prolongées jeudi. La sixième a été libérée.

"On trouve tout de même en toile de fond les commémorations du 11-Novembre", a déclaré mercredi une source proche de l'enquête.

Les deux hommes font partie des neufs personnes mises en examen et membres présumés d'un groupuscule d'ultradroite qui avait envisagé des attaques contres des hommes politiques ou des lieux fréquentés par des musulmans. 

Les suspects, âgés de 22 à 62 ans, sont des sympathisants de "l'ultra droite". 

Huit d'entre eux étaient fichés "S" comme "militant d'extrême droite radicale susceptible de commettre des actions violentes", selon Le Parisien. 

Le chef de l'Etat a félicité lundi Jair Bolsonaro, "élu par le peuple brésilien à la présidence", a indiqué l'Elysée dans un communiqué. 

Si le candidat d'extrême-droite Jair Bolsonaro était élu dimanche président du Brésil, la politique du pays en matière d'environnement pourrait être fortement bousculée...