Francois Hollande

Le candidat de la "France insoumise" a également critiqué la primaire organisée par le PS, estimant que le débat avait désormais lieu avec la droite et non avec les socialistes.

Le président de l'Assemblée nationale a demandé une "primaire digne capable de rassembler toutes les forces de la gauche." 

François Hollande a annoncé jeudi qu'il ne briguerait pas un second mandat, après un quinquennat marqué par les obstacles.

Le président de la République, très impopulaire, a annoncé jeudi qu'il ne briguerait pas de nouveau mandat en 2017, lors d'une allocution télévisée solennelle en direct de l'Elysée. Europe 1 en livre de larges extraits.

COULISSES - En annonçant jeudi sa décision de ne pas briguer un second mandat, François Hollande a pris tout le monde de court. Ses proches ont été prévenus dans l'après-midi.

Daniel Cohn-Bendit s’est dit "impressionné" par le chef de l’État, qui a renoncé jeudi soir à se représenter.

Manuel Valls a salué "le choix d'un homme d'Etat" après l'annonce jeudi de François Hollande de ne pas se représenter à la présidence en 2017.

L'ancien ministre de l'Economie a fait part du "courage" de François Hollande après avoir annoncé son intention de ne pas se représenter en 2017.

"Aucun président - depuis le début de la Vème République - n'a imaginé un seul instant de ne pas se représenter et ne pas défendre son bilan devant les Français", a réagi Robert Namias, éditorialiste politique à Europe 1. 

Le vice-président du FN a approuvé la décision du chef de l’État de ne pas se représenter en 2017. 

Lors de son allocution, le président de la République a dit regretter d'avoir proposé la déchéance de nationalité après les attentats du 13-Novembre.

François Fillon a estimé jeudi que le chef de l'Etat avait admis "avec lucidité son échec" et que son quinquennat s'achevait dans "la pagaille politique".

Le secrétaire d'État chargé du Budget espère que le Premier ministre se portera rapidement candidat à la primaire de la gauche, après le renoncement de François Hollande. 

Le président de la République a annoncé jeudi ne pas se représenter pour un second mandat à l'élection présidentielle de 2017.

Le chef de l'État a annoncé, jeudi, à 20 heures, en direct de l'Élysée, sa décision de ne pas être candidat à un second mandat présidentiel.

Le président de la République doit s'exprimer en direct depuis l'Elysée à 20h, a annoncé son entourage à l'AFP.

Remarquablement impopulaire, le président de la République peut encore compter sur une poignée de fidèles, personnalités politiques ou issues de la société civile, pour le soutenir.

"François Hollande doit expliquer aux Français ce qu'il a fait" a expliqué jeudi Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable, invitée sur Europe 1.

L'ouverture des dépôts de candidature débute jeudi pour la primaire de la gauche. 

Dans un contexte de tension avec Manuel Valls, le président de la République a fait une mise au point en Conseil des ministres mercredi. 

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Pour le président de Fimalac, invité mercredi de la matinale d'Europe 1, François Fillon porte le renouvellement du modèle social français.

Marc Ladreit de Lacharrière, PDG de Fimalac et collectionneur d'art africain, à salué sur Europe 1 l'initiative du président de la République en faveur du patrimoine menacé par le terrorisme.

Après sa victoire à la primaire de la droite et du centre, François Fillon voit sa côte de popularité grimper en flèche.

Selon un sondage Kantar Sofres Onepoint, le candidat investi par la primaire de la droite devancerait systématiquement Marine Le Pen, au premier comme au second tour de la présidentielle.

Manuel Valls a assuré que ses rapports avec François Hollande étaient empreints de "respect, confiance, loyauté, franchise".  

Le président de la République continue d’entretenir le mystère sur sa candidature. Lundi, il s’est expliqué avec le Premier ministre, sans pour autant dévoiler ses intentions. La majorité reste sous tension.

Avec la loi Travail, François Hollande a gommé les différences entre gauche et droite, selon le secrétaire général de Force Ouvrière qui y voit une porte ouverte pour François Fillon.

Même s'il a peu de chance d'être élu, Manuel Valls souhaite se présenter à la primaire de la gauche pour devenir l'homme fort du parti et ne pas laisser la place à Arnaud Montebourg.

L'ancien chef de l'Etat, qui fête ses 84 ans le 29 novembre, va mieux, et a même gardé un œil sur le dénouement de la primaire de la droite et du centre.