Francois Hollande

Les gestes annoncés par le président de la République ces dernières semaines, en faveur des ménages, de l'emploi ou de la jeunesse, devraient mettre à mal la rigueur budgétaire promise à Bruxelles.

L'affaire Denis Baupin a permis au petit François de Tulle de sortir de l'anonymat : lui aussi il a été harcelé par un Vert... Jean-Vincent Placé !

François Hollande renonce finalement à tenir les déficits publics dans les limites imposées par l'UE, cédant à la tentation des cadeaux électoraux.

Le président de la République avait promis à Bruxelles 50 milliards d'économies, qu'il ne pourra finalement pas inclure dans le plan de financement.

François Clauss, Antonin André et Axel de Tarlé font le point sur l'actualité du jour.

Le président de la République veut tourner la page de l'épisode de la loi Travail, de manière à pouvoir lancer une nouvelle séquence politique le 14 juillet, celle d'une pré-campagne.

Le fils du policier assassiné à Magnanville a été invité par François Hollande à assister à France-Islande. 

Le président n'est pas (encore) officiellement candidat à sa réélection, mais ses soutiens s'organisent déjà. Et ils ont du mal à fédérer.

Le président de la République a réagi au décès de l'ancien Premier ministre, décédé samedi à l'âge de 85 ans.

Des preneurs d'otages ont tué 20 étrangers, la plupart à l'arme blanche, dans un restaurant de Dacca au Bangladesh 

Après le Brexit, François Hollande appelle les Britanniques à prendre leurs responsabilités.

L'ancien ministre de l'Économie réclamait une primaire, pensant ne pas l'obtenir. Maintenant que c'est chose faite, le voilà piégé. Car François Hollande reste favori.

Vendredi, six commémorations autour de la ville d'Albert vont avoir lieu en présence de plusieurs dizaines de milliers de personnes. 

Le président n'annoncera sa décision de se présenter à la présidentielle qu'à la fin de l'année. Mais certains signes ne trompent pas : il est déjà dans la course.

Le chef de l'Etat va réduire les prélèvements pesant sur les ménages de deux milliards d'euros en 2017. Pour l'économiste Mathieu Plane, cette baisse reste assez faible.

Prenant ouvertement position contre Trump, François Hollande sort de la retenue attendue de la part d'un chef d'Etat et anticipe la présidentielle française.

Dans une interview accordé au journal "Les Echos", François Hollande détaille ses mesures économiques et s'exprime sur la loi Travail, mais aussi sur le Brexit ou encore sur Donald Trump.

Dans un entretien au journal économique "Les Echos", François Hollande a estimé que la croissance sera "supérieure" à 1,6% en 2016, ce qui permettra "de créer au moins 200.000 emplois".

A deux mois de sa première échéance majeure, le plan numérique au collège voulu par François Hollande fédère la totalité des acteurs du secteur contre lui.

Contrairement à ce que pense la Cour des comptes, le chef de l'Etat estime que la France atteindra son objectif de réduction du déficit public.

François Hollande a annoncé mercredi que l'attentat à l'aéroport d'Istanbul "aurait" fait "deux blessés légers français". 

Le président de la République estime que la sortie du Royaume-Uni de l'UE annonce, pour 2017, une bataille présidentielle entre europhiles et eurosceptiques.

Selon le président français, le Royaume-Uni pourra conserver son accès au marché unique seulement s'il accepte en retour la liberté de circulation.

Le couple exécutif ne parvient toujours pas à regagner la confiance des Français.

Le chef de l'État veut relancer l'Union européenne en mettant la priorité sur la protection des frontières, la défense et l'harmonisation fiscale.

En dépit du Brexit, la France entend "maintenir des relations avec le Royaume-Uni" en matière économique 

Le président de la République tient une réunion à 9 heures à l'Elysée. Il s'exprimera dans la foulée. 

APPELONS-LE FRANCOIS IRLANDE - Non, le président de la République française ne s'est pas mis à soutenir les Verts. Mais un supporter nord-irlandais lui ressemble étrangement... 

La volte-face du gouvernement sur l'interdiction de manifester reflète un "épouvantable fiasco", pour Frédéric Péchenard, le directeur général des Républicains. 

En l'espace d'une matinée mercredi, la manifestation de jeudi contre la loi Travail a d'abord été interdite puis finalement autorisée. Une volte-face qui entache le gouvernement.