Jérusalem

Un sceau datant du 6ème ou 7ème siècle a été découvert à Jérusalem. Cet artefact prouverait qu'un gouverneur a bien dirigé la ville à cette période.

Le ministre palestinien des Affaires étrangères Ryad al-Malki a décidé que Husam Zomlot, envoyé de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP) à Washington, serait rappelé.

Le jeune homme, grièvement blessé par des tirs israéliens à balles réelles, est le 13ème Palestinien tué depuis l'annonce de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. 

Pour le 4ème vendredi consécutif, des centaines de Palestiniens ont manifesté contre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël. 

Le ministre des Transports israélien a annoncé la décision de donner le nom du président américain à la station de train qui doit être construite près du mur des Lamentations en 2018.

"Ce n'est qu'un début et c'est important", a déclaré Netanyahou lundi au sujet de la décision prise dimanche par le Guatemala. 

Le président du Guatemala a, à son tour, annoncé le transfert de l'ambassade guatémaltèque à Jérusalem, suivant la décision de Donald Trump de faire de même pour l'ambassade des États-Unis.  

Cette mort porte à 12 le nombre de Palestiniens tués dans des heurts depuis la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale d'Israël.

Près de 130 pays ont voté jeudi une résolution condamnant la reconnaissance par les États-Unis de Jérusalem comme capitale d'Israël.

"Les dollars reviendront, mais une volonté qui a été vendue jamais ne reviendra", a prévenu le président turc.

Jeudi, l'ONU doit se prononcer sur la reconnaissance par Washington de Jérusalem comme capitale d'Israël.

Mercredi, le ministre palestinien des Affaires étrangères s'est élevé contre une lettre envoyée par l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, à plusieurs de ses homologues.

Après l'isolement des États-Unis au sein du Conseil de sécurité de l'ONU lundi, un deuxième vote aura lieu jeudi au cours de l'Assemblée générale de l'institution.  

Les États-Unis se retrouvent isolés avec ce veto opposé aux 14 autres membres du Conseil de sécurité à propos d'une condamnation de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël.

Le chef de l'État turc a encore dénoncé la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Préparé par l'Égypte, le texte pourrait être soumis au vote lundi ou mardi.

A Gaza, à la sortie de la prière hebdomadaire, une manifestation a dégénéré au contact de soldats et policiers israéliens. 

Cette relance diplomatique interviendra dès la semaine prochaine, dans un souci évident de faire retomber la tension après la décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Des dizaines de Palestiniens ont été blessés et quatre hommes ont été tués vendredi, selon les secours palestiniens. 

Réunis à Istanbul, les leaders du monde musulman ont dénoncé la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Pour le président turc Recep Tayyip Erdogan, Israël est par ailleurs un "État terroriste" et "d'occupation", qui s'est vu "délivrer une récompense" par Donald Trump.

Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a aussi accusé Donald Trump d'avoir "offert Jérusalem en cadeau au mouvement sioniste".

Le gouvernement allemand a condamné sans réserve les dérapages antisémites et anti-israéliens constatés ce week-end lors de manifestations en Allemagne.

Le Premier ministre israélien a aussi déclaré lundi que la décisions américaine allait aider à rendre la paix "possible". 

Le président de l'Autorité palestinienne est attendu au Caire lundi pour parler du dossier Jérusalem avec son homologue égyptien.

Alors que le conflit israélo-palestinien a repris de la vigueur ces derniers jours, Emmanuel Macron a appelé le Premier ministre israélien à faire des "gestes" envers les Palestiniens.

Le président turc a qualifié dimanche Israël d'"État terroriste" après la reconnaissance par Washington de Jérusalem comme capitale de l'État hébreu.

Le garde a été sérieusement blessé dans cette attaque, que la police qualifie d'acte "terroriste". L'assaillant a été arrêté.

Plusieurs centaines de manifestants se sont rassemblés et les forces de sécurité ont fait usage de gaz lacrymogènes et de canons à eau pour les repousser.  

Les États-Unis se sont "retirés comme parrains et intermédiaires du processus de paix", estiment les ministres dans une résolution publiée dimanche.