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Une opération de secours va être lancée samedi dans la partie pakistanaise de l'Himalaya pour retrouver une Française et son compagnon de cordée polonais.

Dans un tweet, le président Trump a menacé le Pakistan de cesser de lui fournir une aide financière car le pays ne lutterait pas, selon lui, suffisamment contre le terrorisme. 

Le président américain estime que les 33 milliards de dollars versés par les États-Unis au Pakistan n'ont pas eu de conséquences positives dans la lutte contre le terrorisme.

Cette attaque, non revendiquée, est intervenue dans une région où la présence des talibans a été autrefois très forte. 

Si un des kamikazes a été abattu par la police, le deuxième est parvenu à atteindre la porte principale de l'église pour s'y faire exploser. 

Une attaque de talibans armés dans une école de Peshawar a fait au moins neuf morts vendredi.

Depuis une légère modification dans un amendement, les membres d'un groupe religieux peu connu faisaient pression pour obtenir la démission du ministre de la Justice. 

La jeune femme, mariée contre son gré, a reconnu avoir versé du poison dans le lait de son époux. 

La CIA affirme que la famille américano-canadienne libérée par l'armée pakistanaise la semaine dernière a été retenue au Pakistan, où des Talibans auraient trouvé refuge, et non en Afghanistan.

Benazir Bhutto, élue deux fois Première ministre du Pakistan, a été tuée dans un attentat suicide en décembre 2007.

Alors qu'il avait auparavant souhaité publiquement un retrait d'Afghanistan, Donald Trump a fait marche arrière en indiquant qu'un départ des troupes américaines favoriserait l'État islamique.

Au moins 15 personnes dans un attentat samedi soir au sud-ouest du Pakistan, revendiqué par le groupe Etat islamique.

Pour l'heure, aucun groupe n'a revendiqué cette attaque, mais les talibans ont mené plusieurs attentats contre les forces de sécurité dans la région touchée par le passé.

Un couple, qui se rendait au tribunal pour se marier, a été tué mardi au Pakistan par le frère de la fiancée, dans le but de "laver l'honneur" de la famille.

Arrêté alors qu'il s'apprêtait à se faire exploser non-loin d'un lieu de prière chiite, un adolescent pakistanais a livré un témoignage intéressant aux autorités locales. Plusieurs responsables de son réseau ont ainsi pu être identifiés.

Le parti au pouvoir, le PLM-N qui bénéficie d'une majorité au Parlement, a déjà choisi l'ex-ministre du Pétrole Shahid Khaqan Abbasi comme Premier ministre intérimaire. 

L'explosion s'est produite sur un marché de légumes bondé, mais les autorités ont jugé qu'il était trop tôt pour déterminer s'il s'agissait d'un accident ou d'un acte terroriste.

Les victimes se rendaient aux grottes d'Amarnath, un haut lieu de pèlerinage hindou.

Au Pakistan, on se fait servir ses pizzas par des robots, "et les gens adorent !"

L'incendie s'est déclenché lorsqu'un camion-citerne s'est renversé sur la chaussée. Des dizaines de personnes se sont alors précipitées pour récupérer le pétrole.

Un premier attentat a fait 13 morts devant un QG de la police, et une double explosion a tué 37 personnes sur un marché.

Des appartements londoniens de luxe sont soupçonnés d'appartenir à la famille du Premier ministre via des sociétés offshore.

Le blasphème est un sujet extrêmement sensible au Pakistan, pays musulman conservateur. Mais cette condamnation à mort reste une première.

L'un de ces attentats avait fait plus de 70 morts en août dernier, tandis qu'un autre avait frappé une école de police tuant 61 personnes en octobre 2016. 

Selon la police, l'explosion aurait été provoquée par un kamikaze circulant à moto. Il y aurait plus de 30 blessés.

Alors que les familles des victimes mettent en cause la lenteur de la justice dans l'enquête sur l'attentat de Karachi, Bernard Cazeneuve assure que l'exécutif avait fait "tout ce qu'il pouvait".

Quatre soldats ont été blessés lors d'une opération qui a également donné lieu à la mort du compagnon de la djihadiste.

La fusillade intervient quelques jours après un attentat suicide revendiqué par les talibans qui avait visé une des équipes chargées de la vaste opération de recensement de la population en cours.

Un gardien de sanctuaire est accusé d'avoir tué 20 fidèles à coups de couteaux et de bâtons avec plusieurs complices. Il a été inculpé pour homicide et terrorisme.