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Lors d'un entretien avec Emmanuel Macron à Paris, le président de l'Autorité palestinienne a affirmé que les Etats-Unis s'étaient disqualifiés pour jouer un quelconque rôle dans un processus de paix isréalo-palestinien.

Mercredi, le ministre palestinien des Affaires étrangères s'est élevé contre une lettre envoyée par l'ambassadrice américaine à l'ONU, Nikki Haley, à plusieurs de ses homologues.

Le président palestinien a déclaré lundi qu'il faudrait être "fou" pour laisser les États-Unis jouer à nouveau les médiateurs de paix.

Les États-Unis se retrouvent isolés avec ce veto opposé aux 14 autres membres du Conseil de sécurité à propos d'une condamnation de la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël.

Préparé par l'Égypte, le texte pourrait être soumis au vote lundi ou mardi.

Cette relance diplomatique interviendra dès la semaine prochaine, dans un souci évident de faire retomber la tension après la décision de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Des dizaines de Palestiniens ont été blessés et quatre hommes ont été tués vendredi, selon les secours palestiniens. 

Réunis à Istanbul, les leaders du monde musulman ont dénoncé la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël.

Le garde a été sérieusement blessé dans cette attaque, que la police qualifie d'acte "terroriste". L'assaillant a été arrêté.

Des mouvements de protestation ont éclaté dans plusieurs pays à majorité musulmane, condamnant la décision mercredi de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme la capitale de l'Etat hébreu.

Au cours d'un entretien téléphonique, Emmanuel Macron et Recep Tayyip Erdogan se sont mis d'accord pour convaincre Trump de revenir sur sa décision sur Jérusalem.

Dans plusieurs villes de l'Hexagone, des manifestants ont protesté samedi contre la venue du Premier ministre israélien à Paris dimanche.

Une visite de Mike Pence était prévue durant la seconde moitié du mois de décembre. 

Deux Palestiniens ont été tués samedi à l'aube, lors d'un raid aérien israélien contre une cible du Hamas dans le centre de Gaza.

Le secrétaire d'État auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères a estimé que la France pouvait "apporter une plus-value" dans la médiation du conflit israélo-palestinien.

L'armée israélienne a annoncé avoir intercepté vendredi soir une roquette tirée depuis la bande de Gaza, sans préciser si elle avait fait des victimes.

Si les réactions des partis palestiniens à la décision de Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d’Israël ont été unanimes, les divisions entre Fatah et Hamas continuent de perdurer.  

Les affrontements entre les Palestiniens et l'armée israélienne ont fait deux morts, vendredi dans la bande de Gaza. 

Vendredi a été décrété "jour de rage" par les Palestiniens qui ont manifesté à Jérusalem et en Cisjordanie occupée. Des heurts ont éclaté entre forces israéliennes et manifestants, faisant deux morts palestiniens.

Le secrétaire d'Etat américain Rex Tillerson a tempéré vendredi les propos de Donald Trump. 

Le Président français appelle à "la responsabilité de tous" en ce jour de prière hebdomadaire des musulmans. 

Le Crif et le Consistoire israélite ont appelé dès jeudi Emmanuel Macron à suivre la décision de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. Ce qui est loin de faire consensus au sein de la communauté juive.

Tsahal a riposté à des tirs de projectiles tirés depuis la bande de Gaza, dans un contexte de vives tensions après la décision américaine de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël. 

Alors que la décision de Trump menace le processus de paix au Moyen-Orient, le gouvernement français garde une position mesurée. Et pourrait prendre une position médiatrice.

Au moins 30 personnes ont été blessées dans des affrontements dans les territoires palestiniens, jeudi. Ces heurts font suite à la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël par Donald Trump.

En reconnaissant Jérusalem comme la capitale de l'État d'Israël, Donald Trump a simplement appliqué une loi de 1995, justifie le secrétaire d'État Rex Tillerson.

La déclaration de Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale d'Israël a mis le feu aux poudres. Des tensions sont à craindre avec les Palestiniens.

Les différents mouvements politiques palestiniens ont appelé à une grève générale et à des rassemblements, jeudi, contre la décision de Donald Trump sur Jérusalem.

Après l'annonce de Donald Trump sur Jérusalem mercredi, Mahmoud Abbas a estimé que les États-Unis ne pouvaient plus jouer un rôle dans le processus de paix au Proche-Orient.

"Nous continuons de croire qu'il y a une très bonne opportunité de faire la paix" dans le conflit israélo-palestinien, a assuré le chef de la diplomatie américaine.