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Le souverain pontife s'est exprimé depuis la fenêtre du palais apostolique du Vatican après la prière dominicale de l'Angelus à laquelle 17.000 personnes ont assisté.

Trente-sept personnes ont probablement péri dans un incendie de la ville de Davao. C'est un nouveau drame pour les Philippines, déjà durement touchées par une tempête meurtrière.

Alors qu'il s'était rendu à la rivière sous une pluie battante pour amarrer son bateau à l'approche de la tempête Tembin, un Philippin a été tué par un crocodile jeudi.

Le pays-archipel est touché par la tempête Tembin qui provoque des rafales de 125 km/h ainsi que des glissements de terrain.

Alors qu'il naviguait dans des conditions météorologiques très mauvaises, un ferry, qui transportait 251 personnes, a fait naufrage. Le nombre de victimes exact est en train d'être déterminé.

Rodrigo Duterte, dont les partisans contrôlent le Congrès, s'est prononcé en faveur du mariage entre personnes du même sexe. 

Une opération de sauvetage a été lancée suite à ce crash annoncé mercredi par la marine américaine. 

Le président des Philippines a confié son affection envers Vladimir Poutine après une livraison d'armes entre les deux pays. 

Le président Duterte a annoncé que les combats contre les djihadistes qui avaient pris la ville de Marawi cinq mois plus tôt sont terminés.

Un temps considérée comme un nouveau eldorado pour l'Etat islamique, la ville de Marawi, aux Philippines, a été libérée, selon Rodrigo Duterte.

Les États-Unis demandent l'extradition du chirurgien orthopédiste de 37 ans arrêté aux Philippines en avril 2017 et soupçonné d'avoir participé au projet d'attentat djihadiste contre des cibles new-yorkaises.

Le prêtre a été libéré samedi soir quand l'armée a pris le contrôle du centre de commandement des islamistes dans une mosquée de Marawi.

Les militaires phillipins ont indiqué avoir fait une prise affaiblissant les djihadistes retranchés dans la ville de Marawi, considérée comme un nouvel Eldorado par l'EI.

Le président philippin a agité cette menace alors que des manifestations de la gauche sont bientôt prévues dans le pays.

Cette réduction, votée mardi par la Chambre des représentants, doit encore être approuvée par le Sénat. 

Les forces de sécurité sont engagées sur plusieurs fronts sur l'île de Mindanao, dans le sud des Philippines, contre des mouvements islamistes.

Le président philippin Rodrigo Duterte a affirmé qu'en France, les gens étaient présumés coupables jusqu'à preuve du contraire.

"Votre devoir réclame que vous surmontiez la résistance de la personne que vous arrêtez. (...) (Si) elle résiste et qu'elle est violente (...) vous êtes libre de tuer les idiots", a dit le président philippin.

En un peu plus d'un an, la police a confirmé avoir abattu plus de 3.500 personnes qualifiées officiellement de "personnalités de la drogue"

"Si nous pouvions tuer 32 autres personnes par jour, cela pourrait réduire" le fléau du trafic de drogue, a estimé le président philippin Rodrigo Duterte.

L'épicentre de ce tremblement de terre se situe à 34 km de la ville de Général Santos.

Selon la police philippine, les bûcherons ont été décapités par des islamistes d'une branche locale du groupe Abou Sayyaf, qui aurait agi par vengeance.

Depuis mai dernier, des djihadistes de l'organisation Etat islamique ont pris pied dans la ville de Marawi, sur une île du sud de l'archipel philippin.

Les parlementaires ont répondu de manière favorable à un appel du président Rodrigo Duterte.

Selon l'armée philippine, les djihadistes de l'Etat islamique qui occupent Marawi, une ville du sud du pays, utilisent des enfants et des otages dans les combats.

L'épicentre se trouvait à une profondeur de 6 km. Aucune alerte au tsunami n'a été émise.

Deux otages vietnamiens ont été décapités par leurs ravisseurs appartenant au groupe islamique Abou Sayyaf, leurs cadavres ont été découverts mercredi matin.

À Marawi, l'armée a fait une estimation plus prudente, expliquant que les forces philippines avaient repris 40 bâtiments samedi, et 57 dimanche. 

Depuis plus d'un mois, le gouvernement a déployé des avions de combat, des hélicoptères de l'armée et des véhicules blindés pour écraser ces combattants disant appartenir au groupe Maute.