République democratique du congo

L'objectif affiché de la mesure, qui doit s'appliquer pendant six mois, est de lutter contre la contrebande et de protéger l'industrie locale. 

Des fortes pluies ont provoqué l'affaissement de pans de montagne qui ont englouti un village de pêcheurs.

Selon un bilan provisoire, douze personnes ont été tuées par des "balles perdues" dans des violences, lundi, à Kinshasa.

Les exécutions ont été commises entre le 12 mars et le 19 juin, indique le haut-commissariat, qui ajoute que sa mission en République démocratique du Congo a recensé "au moins 80 charniers dans la région".

Une pirogue motorisée a fait naufrage dans la nuit de jeudi à vendredi, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo. 

Michael Sharp, Zaida Catalan et leurs familles "méritent justice", a déclaré l'ambassadrice américaine auprès de l'Onu en demandant la création d'une commission d'enquête séparée sur ce double meurtre.

Depuis septembre, la région du Kasaï est secouée par une rébellion qui a fait plusieurs centaines de morts et causé le déplacement de 1,27 million de personnes. 

Le chef d'un mouvement politico-religieux prônant la scission d'une province de l'Ouest de la RDC s'est enfui de la prison avec une cinquantaine de personnes. 

Surnommé "l'homme qui répare les femmes", le gynécologue Denis Mukwege bénéficie désormais uniquement de protection lors de ses déplacements.

Un Français, enlevé en République démocratique du Congo vendredi, a été libéré lundi sans versement de caution.

L'ONU a regretté que les autorités de République démocratique du Congo aient montré à des journalistes une vidéo montrant le meurtre de deux de ses experts.

La Monusco, plus importante et plus coûteuse mission onusienne, passera d'une capacité théorique de 19.815 membres à 16.215.

Les deux experts, Michael Sharp et Zaida Catalan, de nationalité américaine et suédoise, avaient été enlevés le 12 mars dans le centre du pays.

L'attaque menée par des miliciens fait partie de la rébellion qui conteste le pouvoir de Joseph Kabila.

Deux employés de l'ONU, ainsi que quatre Congolais, ont été enlevés en République démocratique du Congo par des "forces néfastes" non identifiées.

L'antagonisme entre communautés hutu et nande est exacerbé depuis plus d'un an par une série d'attaques de villages par des milices de chaque camp.

Peu de temps après l'annonce du décès de "Tshitshi", comme le surnommaient affectueusement ses partisans, la police a dispersé un début de rassemblement en tirant des grenades lacrymogènes.

L'attaque attribuée a été attribuée à des Pygmées dans cette région, théâtre de fréquents conflits communautaires meurtriers.

Le président Kabila, dont le maintien est à l’origine de la crise politique, restera au pouvoir jusqu’à la fin de l’année, mais devra faire avec un Conseil national de transition. 

L'accord conclu sous la médiation de l'Église catholique interdit à Joseph Kabila de modifier la constitution pour briguer un troisième mandat en République démocratique du Congo.

De lundi à mardi, la rivière Kalamu située dans Boma est sortie de son lit, dévastant une partie de la ville.

Cette ville est le fief de Moïse Katumbi, l'opposant en exil du président au pouvoir Joseph Kabila. 

Neuf personnes ont été tuées mardi, dans des violences à Kinshasa. Ce jour marque la fin du mandat du président Joseph Kabila.

Les combats ont fait treize morts chez les forces de l'ordre et dix du côté de la milice.

Un accord politique avait mené au report des élections prévues avant la fin de l'année, et à la mise en place d'un gouvernement d'union nationale dirigé par un Premier ministre issu de l'opposition.

Pour la première fois, la Cour pénale internationale va se pencher sur l'indemnisation des victimes de crimes de guerre du Congo. 

Même s'il serait prématuré de dire que la chute du nombre d'adoptions est terminée, l'année 2016 s'annonce bonne puisque 761 enfants ont été adoptés en neuf mois en France. 

L'opposition accuse le président de la République démocratique du Congo de manœuvrer pour s'accrocher au pouvoir.

Trente-deux personnes ont été tuées lundi et mardi dans la capitale congolaise, en marge d'affrontements meurtriers entre opposants au président Joseph Kabila et forces de l'ordre.

Il ne reste plus que 5.000 gorilles de l'Est, qui se trouvent à "un pas de la disparition" selon l'Union internationale pour la conservation de la nature.