Syrie

L'attentat-suicide a fait 16 morts et 40 blessés mardi parmi la population kurde de Hassaké, dans le nord de la Syrie.

Un attentat suicide commis par un kamikaze en moto a fait au moins seize morts et 40 blessés, mardi, dans le nord-est de la Syrie.

Les Forces démocratiques syriennes tentent depuis fin mai de reprendre cette ville aux mains des djihadistes.

La guerre très complexe en Syrie où s'affrontent de multiples acteurs locaux, régionaux et internationaux, a éclaté en 2011. Elle a fait plus de 280.000 morts.

A l'occasion d'un entretien accordée à une chaîne australienne, le chef de l'Etat syrien a vivement critiqué les dirigeants britanniques.

Cette intervention de l'armée turque, survenue samedi dernier, aurait permis d'éviter un attentat à Adana ou à Ankara.

Les deux mineurs ont été condamnés pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste".

Ces deux villes rebelles situées près de Damas n'avaient pas reçu d'aide médicale depuis quatre ans.

L'attentat a eu lieu mercredi à Tall Abyad, une ville que les forces kurdes avaient repris à l'organisation Etat islamique l'été dernier. 

Le Premier ministre est revenu sur ses propos tenus lundi et qui avaient avancé l'idée de compensations.

Le frère de l'ancien président syrien Hafez al-Assad a été mis en examen le 9 juin dernier pour détournement de fonds, blanchiment et travail dissimulé.

De plus, le Premier ministre turc devrait s'entretenir au téléphone avec son homologue russe mercredi ou jeudi. 

Des enfants ont une nouvelle fois été victimes de bombardements en Syrie.

Les chasseurs appuient les forces syriennes au sol qui tentent de fermer une route entre les quartiers rebelles et la Turquie.

Des raids ont été menés contre la "capitale" de l'organisation Etat islamique en Syrie, faisant 25 morts.

Le cimentier français s'est "arrangé" avec l'Etat islamique en Syrie pour pouvoir continuer sa production malgré le conflit dans la région.

Une cinquantaine de diplomates américains ont formé un groupe "dissident" réclamant que les Etats-Unis frappent militairement le régime syrien.

Ces rebelles, formés et équipés par les Etats-Unis, étaient situés près d'Al-Tanaf, dans le sud du pays, quand ils ont été bombardés.

Selon l'ONU, le génocide est "en cours" et vise à "détruire de multiples façons" cette minorité ethnique.

Dans une interview publiée jeudi, le président des Républicains affirme aussi que Bachar el-Assad, qui "a 250.000 morts sur la conscience", ne peut rester au pouvoir. 

Cette annonce suit de près une mise en garde des États-Unis. Une trêve instaurée en février est en effet régulièrement violée par les forces en présence.

Depuis le début de la révolte contre le régime de Damas en mars 2011, la guerre a fait plus de 280.000 morts 

Ce sont les Forces démocratiques syriennes, une alliance arabo-kurde, qui sont parvenues à couper cette route.

Jeudi soir, les habitants de cette ville assiégée par Damas ont pu recevoir de la farine, des aliments secs mais également une aide médicale.

Jusqu'à aujourd'hui, la France n'avait reconnu la présence de soldats qu'en Irak.

RÉQUISITIONS - Plusieurs djihadistes sont jugés pour avoir passé environ trois mois en Syrie, entre fin décembre 2013 et avril 2014.

L'Observatoire syrien des Droits de l'Homme fait état de 17 civils tués par des frappes aériennes sur un marché.

Les troupes du régime "sont soutenues par les frappes des avions russes

François Delattre, l'ambassadeur de France auprès des Nations unies, a demandé mercredi à l'ONU d'effectuer des largages d'aide humanitaire sur les villes assiégées en Syrie.

Au troisième jour de leur procès, le tribunal s’est intéressé en détail au voyage syrien des sept prévenus, partis en décembre 2013.