Turquie

"La Turquie a été franche", a déclaré le ministre américain de la Défense alors qu'Ankara a lancé une offensive contre une milice kurde dans le nord de la Syrie. 

Au moins onze civils ont été tués dimanche dans des frappes aériennes turques sur l'enclave kurde d'Afrine en Syrie.

Le président turc a affirmé dimanche que ceux qui manifesteraient publiquement à l'appel de milieux prokurdes paieraient "un prix très élevé".

En 48 heures, la Turquie a suscité l’inquiétude de la communauté internationale en lançant une vaste opération militaire contre une milice kurde en Syrie.

La ministre française des Armées a appelé Ankara à cesser son offensive contre les Kurdes syriens dans la région d'Afrine, dans le Nord de la Syrie.

Les analystes estiment qu'aucune offensive majeure ne peut raisonnablement être lancée en Syrie sans l'accord de la Russie.

La Turquie a vigoureusement réagi à l'annonce dimanche par les États-Unis de la création d'une "force frontalière", pour "empêcher la résurgence des djihadistes" du groupe État islamique.

Les 162 passagers n'ont pas été blessés mais les images sont impressionnantes.

Ces fonctionnaires recevront salaire pour toute la durée durant laquelle elles sont restées sans emploi, a précisé l'agence de presse Anadolu.

Florence Aubenas, Elise Lucet et Bernard Pivot font notamment partie des quatorze auteurs de ces "vœux pour la liberté de l'information", publiés sur le site de "l'Obs".

Plusieurs milliers de Kurdes ont manifesté samedi, à Paris, pour réclamer "vérité" et "justice" sur l'assassinat, en 2013, de trois militantes.

Le journaliste a interrogé le président turc sur l'interception en janvier 2014 de camions appartenant aux services secrets turcs (MIT) et transportant supposément des armes destinées à l'EI.

Emmanuel Macron, qui a reçu à l'Elysée vendredi le président turc Recep Tayyip Erdogan, a évoqué avec lui les répressions en Turquie après le putsch raté de 2016.

Qualifiant le régime du président turc de "liberticide", Marine Le Pen a demandé "l'arrêt définitif du processus d'adhésion de la Turquie à l'UE".

Ebru Firat, une étudiante franco-turque toulousaine de 27 ans, a été condamnée à huit ans de prison en Turquie pour être partie combattre Daech auprès des Peshmergas.

Emmanuel Macron reçoit à l'Elysée vendredi le président turc Recep Tayyip Erdogan, de plus en plus isolé sur la scène internationale depuis le putsch raté de 2016, et la répression qui a suivi.

Emmanuel Macron reçoit vendredi son homologue turc pour évoquer notamment la liberté de la presse et la coopération sur la question du terrorisme djihadiste.

Le président turc, interrogé sur LCI à la veille de sa venue en France, a rapporté des propos tenus par Hassan Rohani. 

Pour la première visite du président turc à Paris, Emmanuel Macron veut aborder la question des atteintes à la liberté de la presse en Turquie. Mais Ankara rejette toute accusation.

Le ministre turc des Affaires étrangères a assuré que la condamnation d'un banquier turc par un tribunal de New York était "injuste".

Emmanuel Macron reçoit vendredi Recep Tayyip Erdogan. Ensemble, ils aborderont la question de la liberté de la presse en Turquie.

"Le bon sens doit prévaloir pour empêcher toute escalade", estime Ankara dans un communiqué publié mardi, alors que la tension monte lors de manifestations en Iran. 

Lors du dernier Nouvel An, un attentat qui avait visé une discothèque d'Istanbul avait fait 39 morts. 

Le président turc a annoncé samedi qu'il se rendrait en France vendredi 5 janvier pour discuter des relations bilatérales entre Paris et Ankara.

Les autorités turques ont arrêté 75 personnes soupçonnées de liens avec l'Etat islamique. Un attentat était, selon des documents retrouvés sur place, en préparation pour le Nouvel An. 

"Nous avons pris des mesures de sécurité très sérieuses pour assurer à nos citoyens, si Dieu le veut, un Nouvel An dans la paix et la sécurité", a expliqué le gouverneur d'Istanbul. 

Accusés d'abus sexuels sur mineur alors qu'ils passaient des vacances en Turquie, ils ont été condamnés à 13 ans de prison.

Ses fonctionnaires s'ajoutent à la longue liste de ceux qui ont été arrêtés ou limogés après le coup d'Etat du 15 juillet 2016.

Les présidents russe et turc ont souligné dans un communiqué qu'ils soutenaient le "droit du peuple palestinien à la création d'un État indépendant".

"Les dollars reviendront, mais une volonté qui a été vendue jamais ne reviendra", a prévenu le président turc.