Turquie

Selon la presse turque qui révèle des éléments de l'enquête, l'assaillant aurait été "spécialement choisi", notamment, pour sa "très bonne maîtrise des armes".

Après l'attentat d'Istanbul, revendiqué par l'État islamique, la Turquie martèle sa "détermination" à continuer son offensive dans le nord de la Syrie.

L'attentat commis par un homme toujours en fuite a été revendiqué par l'Etat islamique, lundi. Selon les autorités turques, le suspect pourrait être Kirghize ou Ouzbek.

Présent dans la discothèque stambouliote qui a été la cible d'un attentat lors de la nuit du Nouvel An, Younous raconte ce qu'il a vécu sur Europe 1.

Après la fusillade qui a fait 39 morts dans une discothèque d'Istanbul le soir de la Saint-Sylvestre, l'assaillant est toujours en fuite. L'attentat a été revendiqué par l'Etat islamique, lundi.

Une ressortissante franco-tunisienne a été tuée avec son mari dans l'attaque d'une discothèque à Istanbul, le soir du réveillon. Ils laissent un bébé de cinq mois.

Une femme de 32 ans, de nationalités française et tunisienne, est morte dans l'attaque survenue dans la nuit de samedi à dimanche, dans une discothèque d'Istanbul.

Le Quai d'Orsay a par ailleurs précisé que l'identification des corps était toujours en cours dimanche matin.

Au lendemain d'un attentat qui a ensanglanté une boîte de nuit à Istanbul, le président français a exprimé "sa solidarité" avec la Turquie. 

Le président turc a déclaré dimanche que les Turcs garderont "leur sang froid" et "resteront unis" face aux attaques terroristes. 

Une telle attaque souligne la "sauvagerie des assaillants" a déclaré le porte-parole du Conseil de sécurité nationale.

Une "chasse à l'homme" a été lancée pour retrouver l'auteur de cette attaque survenue dans la nuit de samedi à dimanche. Une Franco-Tunisienne fait partie des victimes, trois autres Français ont été blessés. 

Connu pour sa plume irrévérencieuse et ses enquêtes corrosives, le journaliste avait été arrêté jeudi.

Le cessez-le-feu conclu entre Damas et les rebelles syriens, sous l'égide de la Russie et de la Turquie est historique mais fragile, selon Nicolas Tanzer, professeur de relations internationales à Sciences Po.

Libérée jeudi, la romancière Asli Erdogan serait accusée d'avoir des liens avec le PKK considéré comme un groupe terroriste par la Turquie.

Russes et Turcs se sont mis d'accord pour négocier un cessez-le-feu déjà en cours en Syrie.

Après plus de cinq ans de conflit, un accord a été trouvé entre le régime syrien et l'opposition. Des négociations de paix sont aussi à l'étude. 

Deux intellectuelles turques, dont la romancière Asli Erdogan, ont été remises en liberté jeudi sous contrôle judiciaire. Elles doivent être jugées pour appartenance à une "organisation terroriste".

Ces bombardements interviennent alors qu'un cessez-le-feu a été trouvé entre Moscou et Damas.

Le journaliste, très reconnu, est accusé d'avoir posté des tweets sur le PKK, un parti interdit, et d'avoir publié des articles pour le compte du quotidien d'opposition Cumhuriyet.

Ce cessez-le-feu, qui exclut les "groupes terroristes", devrait entrer en vigueur mercredi à minuit, selon une agence de presse turque.

Arrêté peu avant Noël en Turquie, il a été remis dimanche dernier aux enquêteurs français de la sous-direction antiterroriste pour être interrogé. 

Parmi les 29 accusés, 21 risquent chacun jusqu'à trois peines de prison à perpétuité et les huit autres risque jusqu'à 15 ans d'enfermement. 

Le responsable de la cantine du quotidien d'opposition "Cumhuriyet" a été incarcéré pour "injure au chef de l'État".

Les forces turques en Syrie espèrent pouvoir reprendre rapidement Al-Bab, un bastion du groupe Etat islamique.

Depuis jeudi, 88 civils, dont 21 enfants, ont trouvé la mort à Al-Bab, ville aux mains des djihadistes de Daech et que la Turquie tente de prendre. 

La Turquie est actuellement engagée dans une vaste opération contre l'EI et des combattants kurdes. 

Moscou a estimé mercredi qu'il fallait attendre les résultats d'un groupe d'enquête, alors qu'Ankara a déjà pointé du doigt le prédicateur en exil Fethullah Gülen. 

Pour Ankara, "la Turquie et la Russie savent que derrière l'attaque contre l'ambassadeur de Russie à Ankara", il y a le réseau de Fethullah Gülen, la bête noire d'Ankara.