Turquie

Selon les autorités, cet attentat, survenu jeudi dans la ville de Van, est l'acte du PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan. 

Cette annonce intervient alors que les prisons turques souffrent d'un fort engorgement, en raison notamment des très nombreuses arrestations depuis le putsch raté du 15 juillet.

Un tribunal turc d'Istanbul a décidé d'interdire de manière provisoire la parution du journal pro-kurde Özgür Gündem pour propagande du Parti des travailleurs du Kurdistan.

Cinq policiers turcs et deux civils, dont un enfant, ont été tués dans l'explosion d'une voiture piégée, dans le Sud-Est du pays. 

50 armes nucléaires sont stockées de manière "approximative" à 110 km de la frontière avec la Syrie, expliquent des experts dans un rapport publié lundi.

Selon Mevlüt Cavusoglu, alors que la Turquie a fait des efforts pour pouvoir rentrer dans l'UE, elle ne récolte en retour que "des menaces, des insultes et un  blocage total".

Un bandeau diffusé sur les écrans de l'aéroport de Vienne indiquait que la Turquie venait d'autoriser "les relations sexuelles avec des enfants de moins de 15 ans".

Trente-deux diplomates turcs en poste à l'étranger n'ont pas regagné la Turquie, comme l'avait exigé le gouvernement au lendemain de la tentative de putsch.

Il est accusé "d'être membre d'un groupe terroriste armé", celui de Fethullah Gûlen, ex-imam exilé aux États-Unis.

Le nombre des migrants et réfugiés dans les camps de rétention sur les cinq îles de la mer Egée, mis en place depuis l'accord UE-Turquie, ne cesse d'augmenter.

La purge suscitée par le putsch raté contre le président turc atteint une ampleur inédite.

Le prédicateur turc Fethullah Gülen, accusé par la Turquie d'avoir commandité le putsch raté, est exilé aux États-Unis depuis 1999.

Les deux homologues ont exprimé leur volonté commune de rétablir "le dialogue et les relations" bilatérales, après neuf mois de crise diplomatique.

Une association culturelle turque de Montélimar a été visée par deux cocktails molotov dans la nuit de dimanche à lundi. 

Pour Frédéric Encel, maître de conférences à Sciences Po, la Turquie ne pourra plus peser "d'un poids très important sur le plan géopolitique".

"Si le peuple veut la peine de mort, les partis suivront sa volonté", a déclaré le président turc dimanche lors d'un rassemblement géant.  

Ils sont descendus à l'appel du président Recep Tayyip Erdogan pour cette dernière manifestation, après trois semaines de mobilisation populaire suite au coup d'Etat manqué.

L'homme, frère de la femme du terroriste, a été arrêté à la frontière turque en juillet, soupçonné d'avoir voulu rejoindre Daech. 

Le prédicateur exilé aux États-Unis, ennemi juré du président Erdogan, est visé depuis jeudi par un mandat d'arrêt international.

Le corps d'un réfugié syrien homosexuel a été retrouvé décapité deux jours après sa disparition fin juillet dans le centre d'Istanbul.

Le président de la Commission européenne s'est prononcé pour la poursuite des négociations sur l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne.

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan, a sommé mardi les juges italiens de s'occuper de la mafia plutôt que de son fils, qui fait l'objet d'une enquête judiciaire.

Ils sont soupçonnés d'être impliqués dans la tentative de coup d'Etat, le 15 juillet, visant à renverser le président Recep Tayyip Erdogan.

Le chef de l'Etat turc a répondu de façon virulente aux critiques des Etats-Unis et de pays européens sur l'ampleur des purges.

Des raids de la police étaient en cours en mi-journée à l'hôpital Gulhane à Ankara, le plus grand hôpital militaire de la capitale turque.

Le ministre turc du Commerce a chiffré le montant approximatif de la tentative avortée de coup d'Etat en Turquie.

C'est une tonalité nouvelle en Turquie où la traque aux sympathisants du prédicateur Fethullah Gülen a donné lieu à une purge radicale.

Les militaires sont suspectés d'avoir fait partie du commando qui a attaqué l'hôtel où se trouvait le président turc la nuit de la tentative de coup d'État.

Une des attaques a eu lieu dans le nord-est du pays tandis que l'autre se produisait dans le sud-est, une région à majorité kurde.

Les militaires ont été limogés en raison de leur liens supposés avec le mouvement guléniste, qualifié par Ankara de "terroriste".