La proposition française sur la participation des banques à la crise grecque est un "premier projet, une première épure", a déclaré lundi la ministre française des Finances, Christine Lagarde. Elle s'exprimait devant des journalistes avant une conférence de presse de Nicolas Sarkozy. La proposition des banques françaises ouvrirait la possibilité de réinvestir 70% seulement des sommes reçues lors des remboursements des emprunts grecs arrivés à échéance. Sur ce montant, 50% seraient alloués à l'achat de nouveaux emprunts grecs à 30 ans et non à cinq.