"Le plan Fillon a deux points communs avec les plans grecs : les mesures n'ont aucune cohérence entre elles et il n'y a pas de mesure de soutien à l'économie", a expliqué Jérôme Cahuzac, le président de la commission des Finances à l'Assemblée nationale.
Mais "la France dispose des investisseurs qui lui prêtent d'une confiance que la Grèce ne disposait évidemment pas, donc la situation n'est pas comparable", a-t-il toutefois nuancé, expliquant que "ces deux points communs me gênent".