La révision à la baisse des prévisions de croissance économique du gouvernement français à 0,5% au lieu de 1% pour 2012 ne change rien aux engagements de la France en matière de réduction de ses déficits publics, a déclaré lundi Nicolas Sarkozy.
Cette révision est "une question de crédibilité", a déclaré le président français lors d'une conférence de presse à l'issue du Conseil européen de Bruxelles. "Ça ne change rien en terme de respect des engagements". C'est le Premier ministre, François Fillon, qui a annoncé lundi cette révision.