Dette grecque : "limites" à la volonté des banques

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Les grandes banques réunies au sein de l'Institut de la finance internationale (IIF) ont indiqué lundi qu'il y avait "des limites" au niveau de la dette publique grecque qu'elles peuvent accepter d'effacer volontairement. Les discussions avec l'UE continuent à Bruxelles, "cependant, il y a des limites à ce qui peut être considéré comme volontaire", a indiqué le président de l'IIF, Charles Dallara, dans un communiqué publié à Washington, alors que des sources européennes faisaient état d'un accord "relativement proche" qui verrait les banques consentir une décote de 40% sur la dette grecque.