L'Italie a accepté que le Fonds monétaire international (FMI) surveille ses progrès en matière de réformes économiques et structurelles, a-t-on appris vendredi de source européenne. La Commission européenne et le FMI feront chacun un rapport sur la manière dont l'Italie remplit ses objectifs, notamment en matière de réforme des retraites et du travail, a précisé cette source.
"L'Italie ne voit aucun inconvénient à être surveillée, même si le FMI y participe", a-t-elle souligné, ajoutant qu'une ligne de crédit préventive n'avait pas été perçue comme une option crédible pour le pays, faute de confiance des marchés dans ses plans d'assainissement budgétaire.