Le gouvernement français va instaurer à partir de cet été un prélèvement à la source de 3% sur les dividendes versés par les sociétés à leurs actionnaires, affirment Les Echos sur leur site internet.
Cette nouvelle taxe qui doit rapporter 800 millions d'euros en année pleine (300 millions d'euros en 2012) vise à "inciter les entreprises à investir plutôt qu'à récompenser leurs actionnaires", un thème "martelé tout au long de la campagne présidentielle", souligne le quotidien économique, sans citer de source.