Nicolas Hulot a dit mercredi, lors d'un déplacement à Toulouse, ne pas contester que Christine Lagarde soit "compétente" et "respectée", mais verrait un "joli signe" dans le fait qu'une personnalité venue d'un pays émergent prenne la tête du FMI. "Est-ce qu'on reste dans la vieille économie, est-ce qu'on reste dans une mondialisation sans limites, est-ce qu'on est capable à un moment ou un autre de remettre en cause certaines logiques qui sont aujourd'hui obsolètes ? C'est ça qui m'importe", a-t-il dit.