La vente de l'intégralité du site de Florange, comme le lui demande le gouvernement français, "mettrait en péril la viabilité du reste des activités d'ArcelorMittal en France où le Groupe emploie 20.000 salariés", estime vendredi le groupe sidérurgiste dans un communiqué.
Le groupe oppose ainsi une fin de non-recevoir à la requête du gouvernement français de céder les installations de traitement de l'acier (aval), soulignant que "toutes les activités aval du site de Florange sont intégrées au reste des activités du Groupe en France et en Europe".