La Grèce a recueilli 83,5% d'acceptation de l'ensemble de ses créanciers privés, dont 85,8% des seuls détenteurs d'obligations de droit grec, dans le cadre de la restructuration de son énorme dette souveraine, a annoncé jeudi le gouvernement grec.
Athènes recommande l'activation des clauses d'action collectives attachées aux obligations qui doivent être échangées, ce qui contraint les porteurs rétifs à accepter les termes de l'échange et devrait porter au final le taux d'acceptation à 95,7%, a indiqué le communiqué du ministère des finances.