La dette grecque va être réduite de 100 milliards d'euros grâce à l'abandon par les banques de 50% environ de leurs créances, a annoncé jeudi le président français Nicolas Sarkozy lors d'une conférence de presse.
L'effort des banques "représente un effort de 100 milliards d'euros", a déclaré Nicolas Sarkozy à l'issue d'un sommet européen qui a duré 10 heures et a débouché sur un vaste accord global pour résoudre la crise de la dette.