Les banques grecques vont émettre des actions ordinaires afin d'atteindre au moins 6% des 9% de fonds propres qui seront exigés par la banque centrale dans le cadre de leur recapitalisation.
Les banques, dont les fonds propres ont été quasiment entièrement absorbés par l'importante décote qu'elles ont accusée sur leur actifs en dette souveraine et l'envolée des provisions pour créances douteuses dans un contexte de récession longue, trouveront le reste par émission d'obligations convertibles.