Des banquiers ont proposé de porter de 21% à 40% la décote qu'ils accepteraient de prendre sur la dette grecque, alors que le secteur privé exige des dépréciations d'au moins 50%, apprend-on dimanche de source bancaire allemande.
En juillet, les banques et les assurances ont accepté de participer à hauteur de 50 milliards d'euros à la réduction de la dette grecque via un rachat de papier et à un accord d'échange, ce qui équivalait à une dépréciation ou décote de 21%. Ceci est désormais considéré comme insuffisant pour que la dette grecque soit gérable.