Les Etats créditeurs de la Grèce devraient "renoncer à une partie de la dette grecque", comme les banques privées, a estimé le président de l'Eurogroupe et chef du gouvernement luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, dans un entretien à paraître vendredi dans le quotidien autrichien Standard.
Sans citer de chiffre, Jean-Claude Juncker estime qu'après un éventuel accord, en cours de difficile négociation, entre Athènes et les banques privées sur une décote de 50% de la dette grecque, les Etats "devront se poser la question de savoir si une aide publique n'est pas nécessaire".