Une mise en faillite bien ordonnée de la Grève n'est plus un sujet tabou, déclare Philipp Rösler, ministre de l'Economie allemand et chef de file des libéraux du FDP, partenaire de la CDU d'Angela Merkel au sein de la coalition au pouvoir à Berlin. "Pour stabiliser l'euro, il ne peut plus y avoir de tabous. Cela doit inclure, si nécessaire, une faillite bien ordonnée de la Grèce si les instruments nécessaires (à cette fin) sont disponibles", dit dans une tribune publiée dimanche par le journal Die Welt.
Philipp Rösler demande également à ce que des sanctions automatiques soient imposées aux pays endettés n'ayant pas honoré leurs engagements.