Blackberries et iPhones sont en course pour devenir l'accessoire essentiel des citadins thaïlandais, mais les adeptes de plus en plus nombreux des réseaux sociaux ne peuvent le plus souvent pas profiter de ces smartphones, handicapés par des connexions trop lentes.
Une bataille de longue haleine autour des licences de téléphonie de troisième génération (3G), qui permet de meilleurs débits et la transmission de données "lourdes" comme l'internet ou la télévision, a empêché un véritable déploiement du service dans le royaume.
"J'ai acheté ce téléphone parce que je pensais pouvoir utiliser la 3G, mais ça m'a en fait pris trois ans" pour pouvoir profiter du service, raconte Tiabtawan Limjittrakorn, 25 ans, qui a fini par trouver quelques endroits où se connecter dans la capitale.