Une trentaine de pays et d'institutions se sont retrouvés lundi à Paris pour inscrire des sujets sociaux comme l'emploi ou la protection sociale au cœur des travaux du G20, actuellement présidé par la France.
Les travaux préparatoires au sommet du G20, qui doit se tenir les 3 et 4 novembre à Cannes dans les Alpes-Maritimes, réunissent lundi et mardi les ministres du Travail ou des Affaires sociales et des représentants des 19 plus importantes puissances économiques de la planète et de la Commission européenne ainsi que les dirigeants de l'OIT (Organisation internationale du travail), de l'OCDE (organisation de la coopération et du développement économiques), du FMI (Fonds monétaire international), de la Banque mondiale et l'OMC (organisation mondiale du commerce).
Six autres pays ont été invités: l'Espagne, les Emirats arabes unis, qui président le conseil de coopération du Golfe, l'Ethiopie, à la tête du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique (Nepad), la Guinée équatoriale, au nom de l'Union africaine, la Pologne, présidente en exercice de l'Union européenne, et Singapour.